Sur son compte X, Meir Ben Hayoun répond aux larmes de crocodile de Vincent Lemire.1
C’est la guerre totale contre le djihad que nous les Juifs avons décidé de mener jusqu’à son terme ici dans l’espace de la terre d’Israël.
Vous savez très bien, Lemire, que les terroristes nazislamistes bénéficiant de votre affection se fondent dans les infrastructures hospitalières et que ces soi-disant journalistes sont liés au Hamas.
D’ailleurs, à la bonne heure, l’un d’entre eux éliminé hier, avait mis en scène et filmé de façon ignoble la remise des corps de deux bébés, les Bibas, assassinés à mains nues par vos copains. Là, vous n’avez exprimé aucune émotion, aucun poste, pour cette horreur inouïe, acte religieux intentionnel délibéré et caractérisé de ceux dont vous avez épousé la cause, en bon antisémite foncièrement malhonnête que vous êtes.
Et cela, Lemire, on ne l’oubliera jamais et ça restera à votre charge de façon indélébile.
Un dicton en judéo-arabe dit: « poursuivre le menteur jusqu’au seuil de sa porte ». Que ce soit bien clair, Lemire, vous n’en avez pas fini avec nous de si tôt.
Alors votre foutage de gueule ne trompe que ceux qui veulent bien se laisser tromper. On sait très bien que nous n’en avez rien à foutre si ce n’est diaboliser l’Etat juif à l’aide du quotidien de collabos Haaretz. D’autant plus que pour les horreurs du 7 octobre 2023, outre dénoncer pour la convenance, vous n’avez exprimé aucune émotion, car cela ne vous a fait ni chaud ni froid.
En l’occurrence, ce qui est « insoutenable », c’est votre feinte émotion, alors ne nous la surjouez pas.
© Meir Ben Hayoun