Cover-Up se veut un « documentaire d’investigation » de 117 minutes réalisé par Laura Poitras (Citizenfour) et Mark Obenhaus, tous deux oscarisés. Il a été présenté en avant-première au Festival du film de Venise 2025 et projeté lors d’événements majeurs tels que Telluride, le Festival international du film de Toronto (TIFF), le Festival du film de New York (NYFF) et le Festival du film de Londres.
Produit entre autres par Brad Pitt, il retrace la carrière du journaliste de gauche Seymour Hersh, lauréat du prix Pulitzer, connu pour avoir révélé des secrets du gouvernement américain, notamment le massacre de My Lai (1969), le programme MKUltra de la CIA et les abus commis à Abu Ghraib (2004).
Ca, c’est pour la publicité et le spectateur peu informé, facilement manipulable.
En réalité, « Cover-Up » n’est pas un documentaire, mais une arme de propagande antisioniste déguisée en journalisme, qui promeut une idéologie extrémiste, répand des mensonges sur Israël et occulte les crimes barbares commis par le Hamas.
C’est un outil anti-sioniste déguisé qui utilise Hersh pour répandre des mensonges et minimiser les atrocités du Hamas, certainement pas un groupe militant.
La projection organisée par Netflix au Paris Theatre de New York a caché un segment supplémentaire modéré par la mère du maire élu Mamdani, transformant le film en un outil d’incitation à l’antisémitisme.
Le « segment caché »
Après la projection, il y a eu une séance de questions-réponses ou une table ronde non annoncée, animée par Mira Nair.
Qui est Nair ? C’est une cinéaste indo-américaine et critique virulente d’Israël. Nair est également la mère de Zohran Mamdani, le socialiste démocrate islamiste élu maire de New York en novembre 2025.
Quel danger ?
Des groupes de défense des droits civiques, dont l’Anti-Defamation League (ADL), dénoncent l’implication de Nair comme un activisme antisémite dans un profil journalistique qui aurait dû être neutre. Ils affirment qu’elle a « transformé le film en un outil d’incitation à l’antisémitisme » en présentant les critiques plus générales de Hersh comme une tribune pour la rhétorique anti-israélienne.
L’ADL a d’ailleurs lancé un « Mamdani monitor » pour surveiller son administration et tenter de limiter ses actions antisémites.
Si Netflix diffuse ce film, cela reviendra à légitimer un mensonge dangereux destiné à nuire aux Juifs, à attiser la haine, inciter des excités antisémites à s’en prendre à des voisins juifs et à mettre en danger la sécurité des Juifs dans le monde entier.
Netflix doit suspendre sa diffusion !
