Pas de paix avec ceux qui tuent des mères

Hier soir en Samarie, un jeune couple est monté dans sa voiture, se préparant à accueillir la vie.

Une femme, au terme de sa grossesse, se dirigeait vers l’hôpital avec son mari—probablement nerveux, excité, peut-être même riant à travers les contractions. Elle n’est jamais arrivée. Des terroristes ont ouvert le feu sur leur véhicule près des communautés de Peduel et Bruchin. La femme a été touchée par une balle et grièvement blessée. Son mari a été blessé. Elle est décédée à l’hôpital. Par miracle, les médecins ont réussi à sauver son bébé, qui lutte pour sa vie en dehors du ventre de sa mère, qui est morte en essayant de le mettre au monde.

Pour comprendre l’âme de ce conflit, il suffit de regarder cette image—une mère abattue en route pour accoucher. Il n’y a pas d’équivalence morale. Pas de zone grise. Aucun « cycle de violence » ou discours de l’ONU qui puisse rationaliser cela. Et pourtant, on nous dit encore : « la paix est possible ». Il suffit de leur donner un peu plus. De faire des compromis supplémentaires. De s’asseoir autour de la table avec eux. De leur serrer la main. De prétendre qu’ils veulent ce que nous voulons.

Mais comment peut-il y avoir la paix avec ceux qui tuent des femmes enceintes ? Ce n’était pas une base militaire. Ce n’était pas un point de contrôle. Ce n’était pas un conflit territorial. C’était une famille en route pour accueillir une nouvelle vie—et ils ont été abattus par ceux qui glorifient la mort.

Nous ne sommes pas en guerre pour la terre. Nous sommes en guerre pour des valeurs. Une partie pour donner la vie. L’autre pour la supprimer. Que cela fasse réfléchir.

Tout leader, diplomate, commentateur ou activiste qui croit encore aux « deux États » ou aux « pourparlers de paix » doit répondre à cette question : quel accord de paix arrêtera quelqu’un qui célèbre le fait de tirer sur une mère enceinte ? La réponse est : aucun. Parce que la paix ne se fait pas avec des monstres. Ou après leur défaite totale.

Il est temps d’arrêter de faire semblant. Il n’y a pas de partenaire pour la paix. Pas avec ceux qui distribuent des bonbons après des massacres. Pas avec ceux qui élèvent leurs enfants dans la haine. Pas avec ceux qui ciblent le ventre, car ils craignent la prochaine génération de Juifs autant que l’actuelle.

Ainsi, non, nous ne ferons pas la paix avec cela. Nous apporterons la justice. Nous apporterons la force. Nous apporterons la vie. Et ils apprendront que notre peuple n’a pas peur de se battre pour cela.

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