Il est si pratique d’accuser l’autre que de s’accuser soi-même

Il a été très pratique aux Arabes de Palestine d’accuser la Shoah des juifs, d’en blâmer les nazis allemands, pour la perte de leur fausse domination des terres de Palestine. D’où les subventions et le maintien de l’UNWRA par l’Allemagne et les pays d’Europe afin d’aider ces malheureux « falestiniens » déplacés, ainsi que toutes leurs générations futures.

Pour les Arabes de Palestine, les juifs n’existaient pas en Palestine, aussi simple que cela.

Leur présence s’est déclarée avec  la fuite des juifs de l’Europe Nazie. Commode n’est-ce pas ?

Pourtant l’histoire, les dictionnaires parlent bien d’une population accentuée Juive en Palestine, même sous domination ottomane. On ferme les yeux pour ne pas vexer les Arabes qui d’un seul mouvement se sont tous révoltés contre toute présence juive en Palestine dont le véritable nom est Israël. Sur la stèle de Mérenptah, les Égyptiens d’antan les appelaient les « israélites ». Ils ont tous pris l’arme pour chasser, que dis-je, noyer cet imprudent, cet envahisseur. Plus le mensonge est gros, plus il passe.

Il a été aussi très pratique aux Arabes de Palestine d’accuser les juifs d’Israël de coloniser leurs prétendues terres, et de légitimer toutes actions criminelles, meurtre, terreur, guerres des Arabes de tout bord, pour leur occupation des terres de leurs ancêtres juifs. 

Récemment, il a été très pratique aux dirigeants des pays occidentaux d’accuser les israéliens d’un génocide inexistant, et de lancer l’initiative révoltante de la création d’un État fantoche palestinien, et du même revers de main, légitimer le pogrome du 7 octobre 2023 du Hamas contre les israéliens.

Ce n’est, prétendaient-ils, qu’un acte de résistance d’un peuple sous domination.

Et la charade, la fuite de toute responsabilité, la mauvaise foi, le mensonge vont bon train, entraînant ceux qui croient vouloir faire justice, et ceux qui connaissent la vérité, mais qui ne leur convient pas, à jeter l’opprobre sur tous les juifs du monde.

Manifestations, crimes, terreur, ostracisation entre tant de heurts et malheurs.  

En fait, rien n’a changé sous l’astre solaire. On trouvera toujours quelqu’un à accuser des déboires de soi-même avant de les admettre, avant de faire réparation.

Israël et son peuple cherchent à ce jour la raison de cette haine millénaire et incompréhensible. Elles existent à la pelle, ces raisons. Mais qui sera ce courageux pour oser les révéler ?

Le sceptre est entre les mains du plus fort, et la justice demeure aveugle, les yeux bandés et frappe l’innocent.

Jusqu’à quand ?

© Thérèse Zrihen-Dvir

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