Honte à vous peuples et nations du monde qui se disent, ou prétendent être « les défenseurs du faible face au plus fort ».
Ne me dites pas que vous ne connaissez pas l’histoire, surtout celle concernant les juifs ?
Ne me dites pas que vous ignorez que le juif a été de tout temps, persécuté, poursuivi, assassiné ou réduit à l’état de dhimmis chez les musulmans ?
Ne me dites pas que vous avez oublié qu’il y a seulement 80 ans, les juifs étaient exterminés par les Allemands – six millions d’âmes innocentes – Oui, vous Allemands de 2025 qui demandent aujourd’hui la création d’un État palestinien pour achever votre fameuse « solution finale ».
Ne me dites pas que vous ignorez que les juifs d’Israël n’ont jamais refusé d’accorder le droit de vivre aux Arabes de Palestine ?
OUI, ceux que vous nommez insolemment des Palestiniens…
Le droit à un État ne contente pas le monde arabe entier qui a unanimement refusé le partage proposé par l’ONU en 1948, puis à Oslo en 1995. Cette gloutonnerie n’est pas explicable, a moins bien entendu, qu’elle ne soit que la partie visible de l’Iceberg ?
Le monde arabe a repris la stratégie des Occidentaux et cherche le moyen de les assujettir. Il progresse indubitablement, puisqu’il réussit à leur imposer ses souhaits, dont la tête des juifs. La création d’un État palestinien en est le pion primordial.
Les Occidentaux ignorent les portées de leur capitulation qui trace pas à pas le chemin à suivre vers eux, vers leur soumission. D’ailleurs, cela commence à se voir, petit à petit, l’islam fait son nid dans toutes les démocraties, républiques, États libéraux et laïcs.
Ne me dites pas que vous ignorez que la grande majorité des pays du monde, chrétien, laïc, musulman ou autre ne veut pas de juifs chez eux. Cette horrible créature dont la disparition est tant souhaitée.
Les juifs qui fuyaient l’Europe n’avaient nulle part où aller, même pas le droit de s’échouer sur les rives de leurs terres ancestrales – Les Anglais les guettaient pour les incarcérer dans d’autres camps de concentration à Chypre… Le livre blanc de Churchill vous en souvenez-vous ? Ce brave combattant anglais qui non seulement avait bénévolement offert à l’arabe Abdallah le Saoudien, 77% de la Palestine mandataire, mais refusait à ces fuyards juifs des camps de concentration nazis, un refuge crucial sur la terre de leurs ancêtres.
Ne pensez-vous pas qu’il s’agisse là d’un génocide ? Les anglais ne commettent pas de génocide, voyons ! Et qu’en est-il de leur compassion qu’ils possèdent en quantité colossale envers les pauvres arabes de Palestine ? Et les droits de l’Homme ? Et l’ONU, pardon, j’oubliais, il s’agit des Juifs, des sous-hommes, des créatures étranges sur la face du globe, pas des humains, pas des palestiniens qu’il faut secourir et arracher des mains mortelles des juifs d’Israël.
Ces Juifs n’ont nulle part où aller disait Mme Golda Meir au président Nixon. Hier comme aujourd’hui. Les juifs fuient, cela sent le rance, la répétition des années 1936. Le ballot sur les épaules est prêt, et ils quittent, comme on tourne le dos à une charogne qui sent déjà le pourri.
Vous savez : C’est le désespoir qui rend les juifs invincibles.
Vous appliquez la loi du plus fort contre une poignée d’hommes. Vous voulez imposer un État au sein d’Israël tout en sachant pertinemment que ces dits palestiniens, ne sont rien d’autre que des terroristes arabes, dont la haine, la barbarie et la fourberie, ne connaissent aucune limite, aucune halte.
J’ai vécu auprès des musulmans, des chrétiens, des laïcs, des bouddhistes. J’ai eu beaucoup de mal à croire que tout homme sain d’esprit, toute personne normalement équilibrée, peu importe sa foi, sa couleur et ses convictions, puisse vouloir la mort de l’autre.
Je n’ai jamais ressenti cette haine, dont le juif est apparemment l’unique cible.
J’ai honte pour vous tous, pour votre incapacité d’éprouver un tant soit peu de commisération, d’indulgence, de clémence, hypocrites, menteurs, vautours, dénués de toute miséricorde et de pitié, l’humanité que vous affichez, fait rire le monde entier, même ceux qui en profitent !
Vous êtes les abandonnés de Dieu.
© Thérèse Zrihen-Dvir