Toute tentative de mettre la population hors de danger en l’envoyant se réfugier dans un pays voisin est condamnée, notamment par ceux qui refusent de qualifier le Hamas, l’organisation terroriste islamique qui a déclenché cette guerre, pour ce qu’elle est.
Mettre la population à l’abri est traduit par « nettoyage ethnique », alors que la laisser sur place permettrait un « génocide ». Dans tous les cas, la faute va aux juifs.
En réalité, ceux qu’on appelle aujourd’hui « Palestiniens » ont de la chance que leurs ennemis soient les Juifs. S’il s’agissait de quelqu’un d’autre, le monde ne s’y intéresserait pas. Il y a des guerres et des massacres partout, en ce moment (ailleurs qu’en Ukraine), mais tous les regards sont tournés vers Israël et Gaza.
Autre chance unique au monde pour eux, toujours grâce aux juifs : montrez-moi des « réfugiés » qui vivent dans des tours modernes, au bord de la mer Méditerranée, sur une magnifique bande de terre au climat parfait, avec des plages de sable à leurs pieds, dont le statut de réfugié se transmet de génération en génération, et qui reçoivent sans rien faire des milliards (littéralement) d’aide du monde entier depuis toujours.
Ce qui donne son sens à cette guerre :
- Elle repose sur la haine des Juifs et strictement rien d’autre.
- Toute la population arabe de Gaza peut être sacrifiée tant que les Juifs sont tués et que le seul État juif est éradiqué.
- Dès le début du conflit, le pays le plus proche, l’Egypte, a construit des murailles infranchissables à la frontière pour empêcher les Gazaouis de fuir vers l’immense et presque inhabité Sinaï, et a été salué pour cela.
- Le monde musulman et la majeure partie de l’Europe mentent en niant les points 1 et 2.
- Bonus : la haine des Juifs unit les objectifs des djihadistes et des antisémites dans une alliance impure.
© Jean-Patrick Grumberg pour Israël 24/7.org
