Comment Amnesty ment sur les juifs et Israël… une démonstration en neuf points de Camera.org.
- 1/ Amnesty International et une grande partie des médias déforment systématiquement les définitions lorsqu’il s’agit d’Israël et du peuple juif.
Un récent rapport d’Amnesty affirmait qu’Israël était coupable de « génocide », en redéfinissant complètement le terme.
- 2/ Le rapport affirme que la définition juridique du génocide est « trop étroite » pour leur récit.
Pour rendre vraies leurs accusations, ils ont inventé une nouvelle interprétation du terme et ont déclaré Israël coupable. Ce n’est pas de la défense des droits de l’homme, c’est de la propagande.
- 3/ Amnesty utilise depuis longtemps une définition erronée de l' »apartheid » pour accuser Israël, au mépris des normes juridiques et des preuves factuelles.
Comme l’explique l’analyse de Camera.org David Litman, « ils ne se contentent pas d’insérer un carré dans un rond, ils fabriquent un trou entièrement nouveau ».
- 4/ Le problème dépasse largement le cadre d’une seule organisation.
Des médias comme CNN et Reuters se sont livrés à des distorsions similaires…
- 5/ CNN a affirmé à tort qu’il y avait un « blocus de l’aide » à Gaza, alors que plus de 100 000 tonnes d’aide entrent chaque mois.
Reuters a prétendu qu’Israël avait fait un « tapis de bombes » à Beyrouth, alors que ses propres photos montraient des frappes de haute précision laissant les zones environnantes intactes.
- 6/ Le langage de tous les jours est tout aussi manipulé.
L’antisémitisme flagrant est souvent qualifié à tort de simple « critique d’Israël ».
Le sionisme, le mouvement pour l’autodétermination juive, est vilipendé, déformé et décrit comme un programme sinistre et oppressif.
- 7/ Ces distorsions favorisent systématiquement les récits hostiles à l’État et au peuple juifs.
Ce n’est pas un hasard.
Ces manipulations linguistiques révèlent des préjugés idéologiques, privilégiant la propagande à la vérité et à l’équité.
- 8/ Les implications vont au-delà de la sémantique.
Cette manipulation du langage désinforme le public, alimente l’antisémitisme et délégitime l’autodétermination juive. Les mots façonnent les perceptions et ces distorsions ont des conséquences dans le monde réel.
