Lundi dernier, les établissements médicaux israéliens ont organisé une grève d’avertissement contre la violence à l’encontre du personnel médical. La grève a servi à quoi ? A pas grand chose… Ce vendredi matin, il y a une nouvelle attaque.
Un musulman de 24 ans originaire de la région bédouine de Hura a attaqué le personnel médical du service des enfants de l’hôpital Soroka à Be’er Sheva avec un bâton.
Quatre médecins ont été blessés, et deux autres ont réussi à esquiver les coups de l’attaquant.
La police a été appelée sur les lieux et l’agresseur a engagé une bagarre. Il a finalement été neutralisé et emmené au poste de police pour être interrogé. La cause de l’attaque n’est toujours pas indiquée.
- En 2022, 2 436 cas de violence ont été enregistrés dans les établissements de soins de santé. Il s’agit de harcèlement, agressions, coups de couteau, bagarres et menaces.
- En juin dernier, le syndicat des médecins a organisé une grève de deux jours à la suite de l’agression d’un médecin à Be’er Yaakov. La femme médecin a été gravement blessée.
- Il y avait également eu une grève en mai. Immédiatement après, un patient avait attaqué un médecin à l’hôpital Wolfson.
- En début de cette semaine, un gynécologue a été attaqué par le mari d’une patiente.
© Equipe de rédaction Israel247.org.
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Source : https://news.israelinfo.co.il
Il faut engager des vigiles , créer une liste centralisée des personnes non autorisées à entrer dans un hôpital même pour des cas d’urgence, faire payer le surcoût annuel par toutes les personnes responsables d’agression l’année précédente, plus peine de prison, retrait le cas échéant de la nationalité israélienne ou du certificat de résidence. L’inaction a déjà trop duré; c’est un scandale.
Très bons conseils du Dr. Amos Zot. Afin d’éviter le pire dans les hôpitaux israéliens – voire même ailleurs. La racaille n’est jamais bien loin.
« La cause de l’attaque n’est toujours pas indiquée. » Il n’est vraiment nécessaire de s’interroger à ce sujet. Il faudra peut-être se résoudre à refuser les patients arabes dans les hôpitaux israéliens, à défaut de leur réserver le même traitement que subirait tout patient juif qui se présenterait dans un hôpital de Judée-Samarie – ou de tout pays musulman.