Un meurtrier terroriste palestinien termine sa maîtrise dans une prison israélienne

Zakariya Zubeidi

L’université palestinienne de Birzeit a lancé ses cérémonies de remise de diplômes 2022 en accordant une maîtrise au meurtrier terroriste palestinien Zakariya Zubeidi. En annonçant cette récompense, un membre du comité de jugement de l’université a déclaré :

“[Zakariya Zubeidi] a terminé [ses études] avec le plus grand honneur dans la mise en œuvre, et avec le plus grand honneur dans la réflexion théorique. C’est un succès pour la Palestine, pour le fusil du combattant.”

Dans une interview en 2005, Zubeidi a assumé la responsabilité de l’attaque de 2002 à Beit She’an qui a tué 6 personnes.

Le quotidien officiel de l’Autorité palestinienne (AP) a profité de l’événement pour attaquer Israël – qu’il appelle, comme d’habitude, “l’occupation” – en qualifiant l’arrestation d’un terroriste meurtrier de “violation contre l’éducation”.

Alors qu’il travaillait dans sa cellule de prison à la fin de sa maîtrise, certains de ses codétenus, dans la prison israélienne de Gilboa, étaient occupés à creuser un tunnel pour s’échapper de la prison.

Zubeidi n’est pas le seul prisonnier terroriste à avoir reçu son diplôme. Assaf Zahran est un autre terroriste qui a reçu un diplôme de maîtrise. Zahran purge cinq peines de prison à vie pour avoir transporté Ahmed Abu Khalil, un kamikaze de 18 ans, jusqu’à l’entrée du centre commercial Hasharon à Netanya où il a tué cinq Israéliens – Rachel Ben Abu, Nofar Horowitz (tous deux âgés de 16 ans), Anya Lifshitz (50 ans), Julia Voloshin (31 ans) et le caporal Moshe Maor Jan (21 ans) – et en a blessé 88 autres le 12 juillet 2005.

Comme l’a révélé Palestinian Media Watch, la Commission des affaires des prisonniers, financée par l’AP, dépense des millions de dollars chaque année, en payant ostensiblement des frais aux différentes universités qui délivrent des diplômes aux prisonniers terroristes.

Une décision de 2011 du gouvernement israélien a interdit les études universitaires aux prisonniers terroristes. Alors que l’AP, les universités de l’AP et les terroristes eux-mêmes se réjouissent des études des prisonniers terroristes, le service pénitentiaire israélien affirme qu’il respecte pleinement la décision du gouvernement et que les prisonniers n’étudient pas vraiment.

/IS

Source : https://www.algemeiner.com

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