Résumé de la nuit du 21 décembre

Le moshav Shtula a été bombardé par des centaines de missiles antichars pendant la guerre. Un an après le cessez-le-feu, plus de la moitié des habitants ont choisi de ne pas rentrer chez eux. Mais l’arrivée de nouveaux habitants permettra-t-elle réellement de sauver Shtula ?

Dans une interview accordée au site britannique UnHerd, le vice-président américain J.D. Vance a déclaré :

« 99 % des républicains, et je pense probablement 97 % des démocrates, ne haïssent pas les Juifs parce qu’ils sont juifs. En réalité, on observe une véritable réaction contre une position consensuelle en matière de politique étrangère américaine. Je pense qu’il est nécessaire d’avoir cette conversation et de ne pas chercher à l’étouffer. »

Vance a ajouté :

« La plupart des Américains ne sont pas antisémites, ils ne le seront jamais, et je pense que nous devons nous concentrer sur le vrai débat. »

Le journal libanais « Al-Akhbar », proche du Hezbollah, a rapporté que le Premier ministre libanais, Nawaf Salam, « souhaite annoncer lors de la réunion du gouvernement libanais prévue le 5 janvier que la zone au sud du fleuve Litani est devenue une zone démilitarisée ».

L’article critique les propos tenus par M. Salam ces derniers jours concernant l’approche de la deuxième phase du plan de désarmement du Hezbollah, entre les fleuves Litani et Al-Awli. Il est décrit comme une « capitulation face aux pressions extérieures et aux menaces israéliennes ».

 D’après la chaîne australienne ABC, Naveed Akram et son père, Sajid Akram, éliminé sur les lieux, ont lancé quatre charges explosives sur la foule rassemblée sur la plage – trois charges tubulaires et une charge en forme de balle de tennis – qui n’ont pas explosé. Il a également été établi que les deux hommes s’étaient entraînés et avaient filmé une vidéo dans laquelle ils « justifiaient » l’attaque.

Le consul général à New York, Ofir Akunis, a pris la parole lors de l’allumage de la huitième bougie de Hanoucca dans la ville. Suite à l’élection du maire Zoharan Mamdani, M. Akunis a affirmé :

« Nous avons récemment assisté à une tentative de séparer les communautés juives de l’État d’Israël ; cette tentative échouera. »

Il a également évoqué le silence des dirigeants mondiaux face aux attaques antisémites, déclarant que « le silence équivaut à un soutien ».

Selon un article du site d’information Axios, le chef d’état-major des forces israéliennes, Eyal Zamir, a informé samedi l’amiral Brad Cooper qu’un exercice de tir de missiles mené ces derniers jours par les Gardiens de la révolution iraniens pourrait servir de couverture à une attaque surprise contre Israël.

Cette information a été rapportée par trois sources israéliennes et américaines. Une source israélienne a affirmé, d’après cet article, que la probabilité d’une attaque iranienne « est inférieure à 50 %, mais personne ne souhaite prendre le risque de conclure qu’il ne s’agit que d’un exercice ». Une source américaine a souligné que les services de renseignement américains n’ont aucune indication d’une attaque iranienne dans l’immédiat et qu’Axios est peut-être encore en train de diffuser des fake news

La police a recueilli le témoignage de l’Israélienne secourue vendredi à Jéricho après avoir été enlevée par un Arabe qui l’a emmenée dans un appartement où elle a été agressée. Elle a déclaré qu’avant l’incident, ils avaient seulement correspondu et parlé au téléphone pendant un certain temps. Selon elle :

« Au début, je ne voulais pas le rencontrer, mais j’ai fini par accepter et il m’a donné un lieu de rendez-vous. J’ai d’abord cru que c’était un Juif, mais j’ai compris après coup qu’il était Palestinien. »

Arrivée au rendez-vous, elle a raconté :

« Plusieurs personnes m’ont agressée, dont une qui était armée. Il m’a menacée, m’a fait monter dans une voiture et m’a emmenée dans un appartement à Jéricho. À un moment donné, après l’agression, j’ai réussi à leur échapper et à appeler une amie et la police. D’autres Palestiniens sont arrivés ensuite. »

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