Le président Herzog n’est pas neutre. C’est un homme de gauche, d’une part, et d’autre part, il a clairement proposé une version de la réforme judiciaire qui ne réforme rien du tout et préserve le pouvoir non démocratique des Ashkénazes socialistes post-sionistes sur le pays au travers de la Justice.
C’est dans ce contexte – qui n’a bien entendu pas été mentionné par les médias parce qu’ils ne sont pas là pour vous informer honnêtement, que le président a déclaré, sur Arutz 7, qu’il dénoncera ceux qui torpillent les négociations sur la réforme judiciaire.
Yitzhak Herzog a donc reçu l’équipe de Channel 7 dans sa résidence pour une interview qui sera diffusée demain dimanche 23 avril à 20 heures.
Dans l’interview, il fait référence aux échanges entre les représentants de la coalition et de l’opposition concernant les réformes du système judiciaire.
« Je ne vois aucun changement, ni dans le rythme des discussions, ni dans le désir d’atteindre l’objectif. J’ai eu plusieurs conversations avec Netanyahou, même après son annonce sur l’arrêt de la législation et j’ai été heureux qu’il ait donné un appel à négocier, et il continue à le vouloir ».
M. Herzog a ajouté un appel à « tous les partis » :
« Il y a suffisamment de partis qui essaient de saboter le processus, suffisamment de partis qui sèment l’angoisse dans leur base, qui essaient d’opprimer tout le monde, et disent : ‘Ne vous avisez pas de faire des compromis’.
Je dis à tout le monde qu’il ne faut que dialoguer, qu’il ne faut que s’entendre et, bien sûr, parvenir à des compromis.
Je dirai encore une chose : quiconque sabote le processus et lui nuit, l’histoire le jugera, et je n’hésiterai pas à dire qui, selon moi, aura nui au processus », a déclaré M. Herzog, qui ajoute que, « pour l’instant, il ne semble pas que quiconque assis dans la salle tente de nuire au processus ».Selon lui, « l’atmosphère est bonne entre les parties et il y a des signes de bonne volonté qui montrent qu’il est juste de continuer ».
« Je ne démissionnerai pas »
Herzog a également qualifié le conflit autour de la réforme judiciaire de « crise interne la plus grave depuis la création de l’État, une crise qui touche de très nombreux secteurs », lors de l’interview.
Il a révélé qu’il avait rejeté une offre de démission de son poste, dans le contexte de la promotion de la législation et des protestations qu’elle suscite :
« Je jouis d’une grande confiance de la part de tous les citoyens. J’ai reçu plusieurs propositions concernant les actions et les actes que je peux entreprendre, et il y avait aussi cette proposition [de démissionner]. Je l’ai rejetée et elle ne me semble pas correcte du tout. »
© Equipe de rédaction Israel247.org.
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Il faut mettre fin à la dictature des rats de palais du bagats. Quant aux modalités pour y parvenir, efficacement et définitivement, ça peut se négocier, si ça fait plaisir à HERZOG.
herzog grande famille de présidents etc. il est évident que » chez ces gens-là » on ne discute pas ses privilèges maçonniques. « chez ces gens-là », on compte beaucoup le droit de diriger l’état sans être élu. Mais « chez ces gens-là », sait-on qu’on fait figure de 5ème colonne au service du Vatican visant à annihiler purement et simplement l’état d’Israël ?