Morale : 1 – Woke : 0. Israël n’a pas permis au terroriste Walid Daka de mourir chez lui

Walid Daka

« Ses jours sont comptés » : une demande de libération conditionnelle d’un terroriste arabe, qui a tué un soldat israélien en 1984 et voulait mourir auprès des siens, à son domicile, vient d’être rejetée.

La Commission spéciale des libérations conditionnelles a refusé la demande de Walid Daka, 62 ans, ce prisonnier qui se meurt d’un cancer à l’hôpital Asaf al-Rofa.

Le terroriste, qui a été condamné à la prison à vie pour l’enlèvement et le meurtre du soldat Moshe Tamam en 1984, se voit refuser la possibilité de rendre son dernier souffle chez lui, auprès de sa famille.

En 2012, le président Shimon Peres a fixé la peine « à vie » de Walid Daka à 37 ans – quand il fallait faire quelque chose de travers, Peres était toujours là. Puis sa peine a été alourdie de deux ans, à 39 ans, pour utilisation illégale de téléphones portables. Daka est en prison et il souffre d’un cancer en phase terminale. Le responsable des services médicaux de l’administration pénitentiaire a officiellement conclu que le prisonnier pouvait mourir à tout moment.

La nièce du soldat assassiné, Ortal Tamam est une militante de droite bien connue qui mène depuis des années des campagnes publiques en faveur d’un durcissement de la « lutte contre la terreur ». Il y a deux ans, elle n’a pas réussi à empêcher la libération anticipée d’un des complices de Daka, complice du meurtre de Moshe Tamam, mais aujourd’hui, elle célèbre une victoire morale. Le peuple israélien aussi : la morale a eu le dessus sur le politiquement correct et l’idéologie woke.

© Equipe de rédaction Israel247.org.

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