Au cours des quatre à six semaines précédant l’attaque du 7 octobre contre le sud d’Israël, le Hamas a mené une série d’attaques contre la barrière frontalière et a évalué les réponses de Tsahal, rapporte la Douzième chaîne. Tsahal « n’a pas su faire le rapprochement » et le Hamas a utilisé toutes ses compétences d’attaque en faisant irruption à travers la clôture en plusieurs points dans la matinée du 7 octobre.
Le Hamas a abattu des drones utilisés par le quartier général de la division de Tsahal, brouillant partiellement les communications avec les postes et bases de Tsahal proches de la clôture, indique le rapport.
Ils ont fait un trou dans la barrière frontalière suffisamment grand pour que quelqu’un puisse passer – un trou que Tsahal a rapidement réparé, selon les rapports. (Israël24 7 a publié de nombreux rapports montrant que le Hamas avait fait exploser des explosifs près de la clôture, lors de manifestations plusieurs semaines avant l’attaque. Là encore, Tsahal ne s’est douté de rien)
Tout au long du mois précédant l’attaque, les hommes du Hamas ont tenté de faire tomber les caméras de la clôture utilisée par les soldats de surveillance. « Ils ont finalement réussi à en faire tomber une… puis ont arrêté d’essayer », avant d’utiliser largement cette technique le 7 octobre, indique le rapport.
Les membres du Hamas ont également chronométré leur course vers la clôture, sans toutefois chercher à atteindre la barrière pour ne pas éveiller les soupçons. Et, cela a déjà été rapporté, ils ont également conduit à plusieurs reprises des tracteurs près de la clôture, faisant croire aux FDI qu’ils étaient destinés à un usage agricole.
Le reportage de la Douzième chaîne fait suite à des rapports et à des témoignages dans les semaines qui ont suivi les massacres du 7 octobre, selon lesquels les soldats de surveillance à la frontière ont averti à plusieurs reprises leurs supérieurs dans les mois précédant l’assaut des activités du Hamas à la clôture, notamment en creusant, en cartographiant et en s’entraînant à la vue de tous.
Cela sera sans doute confirmé dans les enquêtes.
Je pense que dans ce drame qui aurait Pu être évité, tous les responsables et à tous les niveaux sont responsables, il restera à determiner le degrés de responsabilité de chacun. La gauche est en partie responsable pour avoir sans relâche des l’arrivée du nouveau gouvernement perturbé la bonne marche du pays, militaires de reserves refusant de se rendre aux exercice, politiciens connus conseillant aux citoyens une désobéissance civile, l’armé, la police, tous ont baissé la garde, tout ça parait il pour sauver la démocratie en oubliant le Hamas qui lui a bien profiter de cette chienlit.
Ceux qui ont imposé, depuis 1967, tous, sans exception, aux soldats d’Israël, de ne pas détruire les déchets, mais à la place d’aller se faire une santé et se former dans les prisons israéliennes. Tout cela sont coupables.
Toutefois, un sommet paroxysmique a été atteint, quand l’état-major de Tsahal, en s’appuyant sur une décision de ses complices du bagats, pour tenter à tout prix, que les soldats n’éliminent pas les déchets, même en plein flagrant délit de terrorisme. Ymah Chémom, les rats de palais qui ont condamné Elor AZARIA.
Le 7 octobre, il y a eu effectivement une tragique erreur tactique : défaillance de la surveillance et des communications. Mais la raison principale, c’est la faute stratégique suicidaire de tous les tarés, aussi compétents soient-ils sur le plan de la technique militaire, qui ont cru que les déchets n’en étaient pas.
Alors, qu’ils se démerdent, en évitant de mettre la vie des soldats en danger. Il reste au moins vingt mille tonnes d’excréments à nettoyer ! Moins, le travail ne sera pas fait et ça recommencera.