Le 7 juillet, des responsables religieux, dont le patriarche grec-orthodoxe de Jérusalem, ont accusé les Israéliens d’avoir incendié une église de 1 500 ans à Taybeh. Ils ont affirmé que c’était une attaque ciblée contre une communauté symbolisant la coexistence. Des diplomates de 20 pays ont visité le site, demandant une enquête transparente.
Cependant, les vidéos racontent une toute autre histoire.
Elles montrent des habitants juifs qui tentent d’éteindre le feu plutôt que de l’allumer. Certains jeunes ont été vus portant des équipements d’extinction, ce qui contredit les accusations d’incendie criminel.
Un berger israélien a raconté comment il a essayé d’arrêter le feu, se voyant ensuite accusé à tort par des réseaux sociaux arabes. Des incendies similaires ont été signalés les 7, 8 et 11 juillet, imputés à des colonisateurs. Des divergences d’interprétation persistent entre les communautés et les autorités religieuses.
Un expert avertit que les récits pourraient être influencés par une intention politique, incitant à des tensions entre les communautés.
Le président du Conseil de Judée Samarie évoque des calomnies visant à nuire aux relations entre les peuples et les nations.
Les dirigeants chrétiens ont été critiqués pour ne pas avoir vérifié les faits et être influencés par des accusations infondées.