Les événements de la nuit du 8 au 9/11

Yerushalmi

Les drapeaux sont visibles sur Victoria Road, dans le quartier de Govanhill à Glasgow.
Le groupe à l’origine de ces drapeaux, « United in Resistance » (Unis dans la résistance), les décrit comme « une puissante déclaration de soutien et de résistance commune ». 

Le rapport initial reçu par le Magen David Adom (MDA) de la maison de la procureure militaire fait état d’une overdose de médicaments.

Bien que le risque qu’elle cherche à effacer des preuves accablantes contre elle ou d’autres soit très élevé, elle a été relâchée de prison :

La plainte contre l’administration Trump concerne l’utilisation d’un logiciel espion israélien. Plus précisément, l’agence américaine de contrôle de l’immigration et des douanes (ICE) sous l’administration Trump a autorisé l’utilisation de « Graphite », un puissant logiciel espion israélien capable de pirater les téléphones et les applications cryptées. Ce logiciel, développé par Paragon Solutions, une entreprise israélienne spécialisée dans la cybersécurité, a été utilisé pour surveiller les immigrants illégaux et des militants.

Des parachutistes ont abattu un terroriste qui tentait d’attaquer une force opérant dans la région de Jénine, a déclaré un porte-parole de Tsahal, précisant qu’il n’y avait aucune victime dans les rangs des forces israéliennes.

La Syrie a lancé une vaste opération contre les cellules terroristes de l’État islamique dans plusieurs provinces du pays, qui durera plusieurs jours. Le ministère syrien de l’Intérieur, en coopération avec le Service général de renseignement, a mené jusqu’à présent 61 raids et arrêté 71 personnes. Un porte-parole du ministère a indiqué que des explosifs et des armes ont également été saisis lors de certains de ces raids. Cette opération intervient alors que le président syrien Ahmed al-Charia doit se rendre à Washington lundi, où il rencontrera le président américain Donald Trump.

La police a évoqué les incidents de violence perpétrés par des pionniers dans la région de Sichem et a imputé la responsabilité à Tsahal :

« Le rapport concernant l’incident a été reçu par la police israélienne plusieurs heures après les faits. Aucune arrestation ni aucune activité de documentation en temps réel n’ont été menées sur place par les forces de Tsahal. »

Aucun suspect n’a été arrêté suite à ces violences, et la police a tenu à préciser que « le lieu où les incidents se sont produits relève de la responsabilité de Tsahal, qui est donc chargée de prévenir, de gérer et de mettre fin à l’incident, jusqu’à l’arrivée des forces de police. » En conclusion, il a été déclaré que « la compréhension et la reconnaissance des domaines de responsabilité et d’autorité de chaque instance constituent le fondement de l’application de la loi en Judée-Samarie et du maintien de l’ordre public et de la sécurité. »

Lors d’une audience devant la Haute Cour de Justice mardi, consacrée à deux requêtes relatives à l’enquête sur l’affaire impliquant l’ancienne procureure militaire Yifat Tomer-Yerushalmi, le ministre de la Justice, Yariv Levin, sera représenté par l’avocat Zion Amir. L’une des requêtes demande le retrait de la procureure générale Gali Baharav-Miara de l’enquête, tandis que l’autre vise à invalider la décision du ministre de la Justice de désigner le médiateur pour accompagner des juges qui sont ses collègues.

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