Les Arabes renouent avec les attentats suicides au cœur de Tel Aviv

Lundi, les forces israéliennes ont arrêté Muhammad Jaber, un terroriste arabe, qui se rendait à Tel-Aviv pour y commettre un attentat suicide.

Il a été tué lors de la fusillade qui a suivi. Des photos de l’arme de Jaber et d’un engin explosif de 20 kg ont été largement diffusées sur des comptes Telegram en langue arabe.

Son intention d’assassiner des innocents dans une grande ville multiculturelle et de gauche, tout en sacrifiant sa propre vie, a été exacerbée par la réaction du public arabe.

• Les mosquées ont diffusé et pleuré sa mort par haut-parleurs.
• Le syndicat des journalistes des médias palestiniens a envoyé ses “condoléances”.
• Les magasins et les entreprises sont restés fermés mardi dans la ville d’Arraba (Jénine).
• Les écoles, y compris celles qui portent le nom de fondateurs de groupes terroristes, sont passées à l’enseignement à distance.

Jaber est glorifié comme un “martyr” au lieu d’un meurtrier, et il sert déjà de modèle aux enfants dans leur dévotion à Allah.

Une marche a été organisée pour célébrer sa mort en martyr.

Le principal obstacle à la paix réside dans cette culture qui donne la priorité à la mort ou au “martyre” par rapport à une vie constructive et normale.

L’appel au martyr n’est ni caché ni tabou par les Arabes. Il est en revanche totalement ignoré, occulté, caché, dissimulé, ou bien il fait l’objet d’explications tordues et mensongères (désespoir, résistance, militantisme, occupation, vol des terres…) de la part des médias, leurs fidèles complices.

Et quiconque cite leurs désirs de commettre des attentats suicides, quiconque évoque cette culture guerrière et de mort, est immédiatement qualifié d’islamophobe et d’extrémiste de droite.

Les Occidentaux qui prétendent être préoccupés par les “enfants palestiniens” devraient plaider en faveur de la destruction complète de ces groupes terroristes et de la déradicalisation de la société arabe, afin d’offrir à ces enfants une chance d’avoir un avenir normal, plus brillant et plus prospère. Mais ils ne le feront pas : du sort de ces enfants, ils n’ont que cure.

© Jean-Patrick Grumberg pour Israël24 7.org