D’emblée l’affaire était verrouillée.
Le Hamas a bien calculé ses pas, ses démarches, contrairement aux Israéliens qui ont ouvert leur ventre dès leur savoir/connaissance de la prise d’otages suivi de leur assentiment intraitable à négocier leur liberté.
Et la charade s’est poursuivie avec l’échange abusif de milliers de terroristes, d’assassins, incarcérés en Israël, contre un nombre restreint et en compte-gouttes, d’otages. Entre-temps, l’armée de terroristes libérés, contribuera à la restitution du contingent militaire hamassien.
Les mises n’ont fait qu’augmenter. Épaulé par l’Administration du président américain, Joe Biden, des milliers de camions transportant des vivres et du pétrole, s’alignant chaque jour pour prétendument éviter la famine au sein des Gazaouïs… Ce qui en vérité, était faux, puisque ces provisions étaient immédiatement arrachées à la population et emmagasinées dans des tunnels sous la garde vigilante des terroristes du Hamas et du Djihad.
Le cynisme du Hamas est inconcevable – il s’est servi de ses concitoyens et des Israéliens pour se rebâtir et préserver son trône, son prestige, sa force et ses ambitions. Comment donc espérer que des énergumènes de cette cruauté puissent un jour se comporter comme des êtres humains ? Ils n’ont rien d’humain et ceux qui les glorifient de même. Le Hamas et consorts ont toujours été et restent à ce jour, des monstres envers tous ceux qui les désapprouvent
Qui d’entre nous ne se souvient pas de ces Arabes de Gaza qui avaient eu le zèle de se rebeller et s’étaient retrouvés estropiés – sans bras ou sans pieds, dans des hôpitaux ? En fait, la bande Gaza était une prison à ciel ouvert, que le Hamas leur imposait. D’autres Arabes soupçonnés de collaboration avec les Israéliens ont été manu militari fusillés, sans aucune chance de prouver leur innocence.
En somme, c’est l’ennemi, c’est l’abducteur, c’est celui qui détient des otages israéliens et qui n’a aucune intention de les libérer à moins d’obtenir des garanties des USA et des pays d’Europe, d’un cessez-le-feu intrinsèque, du départ immédiat des soldats israéliens de la Bande de Gaza et l’abandon du passage de Philadelphie qui lui promet un réarmement des plus rapides.
Ce qui en vérité, anéantit tous les atouts israéliens pour un tant soit peu de sécurité.
Le Hamas ne se gêne pas pour avouer qu’il veut tuer tous les juifs et s’emparer de l’État d’Israël dans le dessein de le convertir en État palestinien.
Objectif improbable, puisque derrière les coulisses, on devine la présence de l’Égypte qui ne cache pas ses projets hégémoniques, le Qatar, La Turquie, l’Iran… et tant d’autres prédateurs.
Pour l’instant, les deux principaux financeurs, qui ont joué le rôle déloyal de médiateurs, emploient toutes leurs machinations afin de maintenir le Hamas en vie et opérant. Aspect que les Israéliens n’ignoraient pas, mais qui, par manque d’alternatives, se sont vus contraints de jongler pour demeurer en surface.
Le jeu a changé avec la montée au pouvoir de Donald Trump, qui lui, leur a brouillé les cartes.
Pourtant le Hamas ne démord pas… Il reste sur gardes, sur ses conditions… et FOU serait celui qui croirait qu’un jour ou l’autre, le Hamas libérerait le restant des otages israéliens. C’est la carte tournante qui lui permettra de survivre, d’être présent encore et de répéter le scénario du 7 octobre 2023… C’est la porte d’entrée à d’autres otages, à d’autres chantages, aux guerres et à la mort de ces vaillants soldats qui paient de leurs vies les erreurs de tous ceux qui ont entamé la voie arbitraire des négociations.
Comment exposer cette situation aux parents, aux proches des otages ? Comment les contraindre à accepter une réalité si cruelle ? Dans l’autre bascule, c’est la résilience de l’État juif d’Israël qui est remise en question.
Thérèse Zrihen-Dvir
ET je lisais aussi des accords pour la moitié des otages restants chez hamas. C’EST TOUS QU’IL FAUT les récupérer puis éliminer hamas par tout moyen. Sinon, ils vont se refaire une santé avec leur coups tordus aux dépens d’Israël et ses amis.
On a trop lâché en faveur des terroristes.