L’autre face de la « Nakba » : l’expulsion des juifs

Des Juifs yéménites attendent de monter à bord d'un avion à destination d'Israël dans le cadre du pont aérien "Tapis magique" en 1949. Photo : David Eldan/GPO

Initialement publié le 8 décembre 2022 @ 12h57

Le fait que les Nations unies soutiennent le mensonge de la soi-disant Nakba, et rien sur l’expulsion et l’exode des juifs est symptomatique de cette organisme international antisémite.

Les communautés juives des pays arabes ont largement surmonté leur désavantage, les communautés musulmanes ont largement inventé leur statut de victime. Le monde juif a moins de besoin de commémorer ce qui s’est passé, le monde arabe ne tient pas debout pas sans cette commémoration. 

Irak

Egypte

Yémen

Syrie

Libye

En Libye, un antisémitisme sérieux s’est produit pendant la guerre, lorsque le régime fasciste italien a été renforcé par l’Allemagne. Cependant, bien que les années d’après-guerre aient été largement calmes pour les Juifs, il y a eu quelques émeutes meurtrières entre 1948 et 1951.

Maroc

La population juive la plus importante en Afrique du Nord française était celle du Maroc.

Iran

L’exode des Juifs iraniens fait référence à l’émigration des Juifs persans d’Iran dans les années 1950 et à la vague de migration ultérieure du pays pendant et après la révolution iranienne de 1979, au cours de laquelle la communauté de 80 000 personnes est tombée à moins de 20 000. La migration des Juifs persans après la révolution iranienne est principalement attribuée à la peur justifiée des persécutions religieuses, aux difficultés économiques et à l’insécurité après la chute du régime, à la violence domestique qui en a résulté et à la guerre Iran-Irak.

Algérie

© Jean-Patrick Grumberg pour Israël 24 7.org

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