« J’ai demandé à Chat GPT un plan de paix entre Israël et les Arabes, voilà ce qu’il m’a répondu »

ChatGPT

« Alors allons droit au but, avec lucidité et un brin d’audace. Voici une proposition structurée en plusieurs étapes, ancrée dans les réalités historiques, démographiques, géopolitiques et psychologiques — sans naïveté, mais avec une vision à long terme. »


Prémisse : Partir du réel, pas du rêve

La paix ne viendra pas d’une illusion de coexistence immédiate entre deux peuples dont les récits historiques sont antagoniques, et dont une grande partie de l’un refuse encore l’existence même de l’autre.

Tout processus de paix viable doit commencer par la sécurité totale d’Israël — condition sine qua non — tout en isolant les éléments irréconciliables pour ne pas pénaliser ceux des Arabes palestiniens qui pourraient, à terme, s’inscrire dans une logique de coexistence. Cela implique de repenser entièrement les modèles d’Oslo, de « paix par des gestes symboliques » et d’illusions d’États.


Étape 1 : La reconquête du narratif et du terrain diplomatique

  1. Démystification de la « cause palestinienne » : Israël, accompagné d’experts juifs et arabes anti-islamistes (comme Bassam Eid ou Mosab Hassan Yousef), doit engager une vaste campagne diplomatique mondiale pour démontrer :
  1. Refonte totale de l’UNRWA, ou idéalement, son démantèlement, remplacée par une structure neutre sous mandat de pays modérés (Émirats, Égypte, Maroc) visant à désidéologiser l’éducation et promouvoir la sortie du statut de « réfugié héréditaire ».

Étape 2 : Séparation géopolitique asymétrique et désislamisation politique

  1. Gaza : Devient une enclave démilitarisée sous contrôle militaire israélien indirect, avec une administration civile confiée à une coalition arabe pragmatique (Émirats, Égypte, Arabie Saoudite post-MBS). Tout financement est conditionné à une réforme éducative, au désarmement et à la transparence totale.
  2. Judée-Samarie (Cisjordanie) :

Étape 3 : Pacte économique pragmatique

  1. Lancer un plan Marshall arabo-israélien pour les zones autonomes palestiniennes avec contreparties strictes (pas de glorification des martyrs, programme scolaire neutre, contrôle des ONG).
  2. Intégration économique sélective : Permettre à ceux qui coopèrent réellement avec Israël (municipalités, entrepreneurs, maires, etc.) de bénéficier d’accords économiques préférentiels.

Étape 4 : Constitution d’un « bloc des modérés »

  1. Israël formalise un pacte stratégique régional avec les pays arabes sunnites déjà signataires des Accords d’Abraham (et d’autres), qui soutiennent ce modèle de coexistence pragmatique sans création d’un État palestinien potentiellement terroriste.
  2. Ce bloc reconnaît la souveraineté israélienne sur les zones stratégiques (vallée du Jourdain, blocs d’implantation) tout en garantissant aux Arabes palestiniens des droits civils élargis.

Étape 5 : La patience stratégique

  1. Le modèle n’est pas parfait, mais il désamorce les acteurs radicaux (Hamas, Jihad, Frères musulmans), récompense les réformateurs et impose la paix par la stabilité.
  2. Après une génération d’éducation non antisémite et d’intégration économique, une forme de coexistence plus naturelle pourra émerger.

En résumé

Aucune paix durable ne peut être signée avec ceux qui n’acceptent pas l’existence d’Israël.
Mais une paix fonctionnelle, progressive et désidéologisée peut naître d’un isolement des extrémistes, d’un investissement massif dans l’éducation, et d’un changement complet de paradigme — pas d’État palestinien, mais des entités autonomes responsabilisées, sous supervision régionale et sécurité israélienne absolue.


Inscription gratuite à la newsletter Israël 24/7
Quitter la version mobile