En seulement 48 heures, Israël a accompli en Iran ce que la Russie n’a pas réussi à faire en trois ans et demi en Ukraine, a rapporté le Wall Street Journal lundi matin.
Seulement 48 heures après le début du conflit avec l’Iran, Israël a réussi à établir une supériorité aérienne sur la partie ouest du pays, y compris les cieux au-dessus de Téhéran.
Les jets de l’armée de l’air israélienne opèrent désormais profondément à l’intérieur du territoire iranien, déployant une gamme d’appareils—des F-35 furtifs aux chasseurs F-15 et F-16—après la neutralisation des systèmes de défense aérienne iraniens. Lors d’une vaste opération, des dizaines de batteries de missiles surface-air dans l’ouest de l’Iran ont été éliminées, ainsi que le chef du renseignement du Corps des gardiens de la révolution islamique et son adjoint. Le chef d’état-major de l’IDF a déclaré :
« les pilotes de l’air volent à grand risque personnel, à des centaines de kilomètres d’Israël, et frappent des centaines de cibles avec grande précision.
Le général de corps aérien retraité des États-Unis, David Deptula, a ajouté :
Alors que la Russie et l’Ukraine restent embourbées dans une guerre d’usure sans contrôle aérien, Israël a démontré l’importance de la supériorité aérienne comme fondement d’une campagne militaire réussie »
Les analystes militaires disent que ce succès est dû à une planification précise, à l’innovation, à l’intégration du renseignement, du cyber et des frappes, et à un haut niveau de préparation opérationnelle.
« Ce qu’Israël a fait en Iran reflète ce que la Russie a tenté en Ukraine—mais contrairement aux Russes, Israël a réussi », a noté l’analyste Michael Horowitz.
Les opérations commando secrètes, l’utilisation précise de drones, l’élimination de cibles de haute valeur et l’acquisition de la liberté d’action aérienne ont conduit à des réalisations significatives dans la campagne, même face aux menaces de missiles iraniens.
« Israël tire simplement parti de son avantage de manière cohérente », a conclu le général retraité de l’US Air Force, Timothy Ray.


Tout bonnement absolument magnifique. On dira encore dans 2000 ans des prières pour ce nième miracle qui parsème la Saga du peuple élu. Si on semble piétiner dans Gaza avec une guerre plus longue que celle d-indépendance de 1948, c’est qu’il faut ménager les gazaouis génocidaires jusqu’à devoir endosser les accusations inversées du même acabit. Comparativement, quelle aisance pour avoir réduit le monstrueux Hezbolla et la Perse entière.
Merci Tsahal, ange-gardien d’Israel.