L’antisémite Roger Waters assimile les Israéliens aux nazis en comparant la petite victime de l’Holocauste, Anne Frank, à la journaliste d’Al Jazeera.
Cette dernière a ététuée accidentellement lors d’une opération antiterroriste, et dont les responsables des tirs – plus que probablement une balle perdue – n’ont jamais été établis avec certitude. L’armée israélienne a affirmé, tout comme les Américains, qu’elle est “peut-être” l’auteur accidentelle, quand aux Arabes, on connait leur position : ils n’assument jamais aucune responsabilité de leurs actes, c’est toujours la faute de quelqu’un d’autre, ils sont dans la pleurnicherie victimaire éternelle, depuis qu’ils ne parviennent pas à réconcilier pourquoi ils vivent comme des mendiants alors qu’ils se sont vu promettre la suprématie du monde.
Les réactions se sont multipliées après la diffusion sur les médias sociaux de photos du concert du chanteur extrêmement antisémite la semaine dernière à Berlin.
Elles montrent un écran géant derrière lui, projetant le nom d’Anne Frank avec les mots suivants : “Lieu – Bergen-Belsen, Allemagne ; crime – être juif ; punition – mort”, ainsi que le nom de Shireen Abu Akleh, lieu “Jenin, Palestine”, crime “être palestinienne”, et la même “peine” que l’adolescente assassinée dans le camp de concentration allemand.
L’organisation Stop Antisemitism a qualifié la comparaison de “révoltante” et s’est indignée :
“Comment l’Allemagne a-t-elle pu permettre que cela se produise en 2023 ?”
La réponse, Israel24/7 peut vous la donner : l’Allemagne a tenté d’interdire les concerts de Waters, qui a déposé plainte, et les tribunaux ont conclus que les villes n’avaient pas suffisamment d’arguments juridiques pour que l’interdiction soit confirmée, et ont autorisé les concerts.
Lors du concert de Berlin, M. Waters a été vêtu d’un uniforme SS et “tirant” avec un fusil factice. Bien qu’il soit illégal en Allemagne d’afficher des symboles nazis, plusieurs personnes ont défendu le costume de M. Waters sur Twitter en disant que l’artiste ne faisait que “rejouer une scène” d’un film de 1982 basé sur un album du groupe Pink Floyd dont M. Waters était le leader il y a plusieurs années.
Waters est d’extrême gauche. Donc il est partisan de l’organisation antisémite BDS, et son spectacle anti-establishment a pour thème que les démocraties comme les États-Unis et Israël sont violentes et répressives (et les dictatures sont probablement des paradis à ses yeux, qui sait).
© Jean-Patrick Grumberg pour Israël 24/7.org
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