Les réponses apportées par des rabbins :
- Qu’est-ce qu’une ampoule ?
- Changer ?
- Il faut d’abord convoquer une réunion de comité, puis nous pourrons peut-être prendre une décision significative.
- Aucun, tout le monde peut changer une ampoule quand il le souhaite.
- Ca dépend.
- Gevaldt, c’est mamash une si belle occasion de faire t’shuvah. Il faut donc que tout le monde se lâche, chante un niggun, écoute un enseignement d’Ishbitzer, raconte une histoire de Levi Yitchak et change l’ampoule à 2 heures du matin.
- Quatre. Un pour qu’il fasse ce que fait le rabbin orthodoxe, deux pour qu’il fasse ce que font les rabbins réformateurs, trois, on en vient à souhaiter faire ce que fait le rabbin du Renouveau, et le quatrième, éventuellement, pour changer l’ampoule.
- 30. Un pour changer l’ampoule et 29 pour en discuter et donner des conseils contradictoires à la personne qui change l’ampoule.
- Aucun. Il n’y en aura jamais une qui marchera aussi bien que la première.
- CHANGER ? Vous voulez CHANGER l’ampoule ? Ma grand-mère a fait don de cette ampoule !!!
La bonne réponse était :
- Aucun, c’est péché de changer une ampoule qui marche.
il y a trop de dissension ,de disputes entre nous ,,trop de desaccords , trop de palabres , trop …….il n’y aura jamais de paix tant que nous nous battrons entre nous a la knesset , dans la rue , en tre conducteurs de voitures , entre professeurs , entre directeurs entre chefs d’entreprises , entre chefs de la police et chefs d’armee en politiciens entre chefs de partie , et aussi tant que les chefs resteront gauchistes ils ne laisseront pas le peuple tranquille
comment voulez vous subsister comme cela . les autres nous regardent et se tapent les mains de joie, surtout nos ennemis
il y a trop de chefs en isarel. CHACUN VEUT COMMANDER
Vous savez pourquoi il y a trop de disputes et de dissensions ? Parce que nous prenons le problème à l’envers : nous demandons des autres qu’ils réalisent l’unité que nous ne demandons pas de nous-mêmes. Nous attendons du camp opposé qu’il fasse le premier pas. Nous n’envisageons pas un seul instant de le faire envers eux, et de tendre la main, et quand ils la refusent, de la tendre encore.