Le magistrat instructeur refuse pour l’instant de retenir que la haine du juif a motivé le tueur musulman. C’est l’habitude de la France. Elle a honte – et elle a raison d’avoir honte d’être le pays européen qui détient le triste et tragique record du plus grand nombre de juifs assassinés sur son sol au 21e siècle.
D’après l’Express, qui a eu accès au dossier, Dridi n’a pas été interrogé, lors de sa première garde à vue, sur le contenu extrêmement antisémite de son compte Facebook.
Pourtant, Dridi y multiplie les messages religieux, dont certains appellent à tuer les juifs, c’est l’immense majorité de sa production virtuelle.
Voici la photo et l’identité du meurtrier musulman, Mohamed Dridi, révélées après avoir tué son colocataire, Eliahou Eyal Haddad, en lui fracassant la tête avec une hache dans un acte de haine antisémite à Longperrier, une commune du département de la Seine-et-Marne.
D’après CNEWS, Dridi était entré clandestinement sur le territoire français autour de l’année 2017. Il n’a jamais fait de demande de régularisation de sa situation, et il a été visé par deux obligations de quitter le territoire (OQTF), une en 2018, l’autre en 2022, qui n’ont jamais été mises à exécution – sans quoi Eyal Haddad serait toujours en vie.
Le meurtrier d’Eyal Haddad est documenté pour avoir :
- Brûlé un drapeau israélien
- Il a célébré le meurtre d’un soldat de Tsahal et une attaque terroriste à l’arme blanche sur les médias sociaux.
- Il suit publiquement des imams qui louent la décapitation de ceux qui insultent l’islam.
Pourtant, selon le procureur adjoint de Meaux, aucun mobile antisémite n’a été mis en évidence «à ce stade».
© Equipe de rédaction Israel247.org.
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