Initialement publié le 26 septembre 2020 @ 11h28
Résultat de deux mois d’enquête en Judée Samarie (Cisjordanie occupée par l’Autorité Palestinienne) et à Gaza, le film de Rehov devrait révolter les féministes de tout crin.
Malheureusement, de la même manière que le LGBTXYZ rejette Israël comme entité fasciste qui « ferait sa publicité sur le dos des homosexuels » tout en admirant les pays où les minorités sexuelles sont pendues ou jetées du haut d’un immeuble, ne nous attendons pas à ce que les féministes réagissent en « découvrant » comme les femmes sont traitées dans la communauté musulmane des Territoires dits « Palestiniens ».
Femmes battues, femmes soumises, femmes humiliées, femmes violées (y compris par leur père) tentent de dénoncer une situation de fait alarmante et intolérable.
Le plus surprenant, c’est que les mêmes femmes ne voient que la Charia (loi islamiste) pour résoudre leurs problèmes. Nul n’est prie sourd que celui qui ne veut entendre.
A voir et à partager, en attendant le prochain Rehov, sur la maltraitance des animaux dans les mêmes Territoires :
Ce sont les femmes musulmanes, et elles seules, qui mettront fin un jour à ces scandaleux abus.
Cela m’a toujours paru étrange de constater que les femmes sont souvent le fer de lance de leur propre oppression. Dans le passé, elles ont souvent accepté, défendu, reproduit un ordre où elles étaient d’eternelles mineures. Aujourd’hui, en votant majoritairement à gauche, elles entretiennent de nouveau un système qui les condamne à la solitude, l’invisibilisation par le voile ou la folie trans, ou à la violence misogyne de la submersion migratoire. Bizarre…
Dans ‘notre’ passé, c’est-à-dire celui de la civilisation judéo-chrétienne, les coutumes non écrites variant dans chaque province, beaucoup de femmes s’arrangeaient pour contourner la difficulté et ‘régner’, en fait, sans éclat, au foyer comme sur le trône. Il ne manque pas de témoignages, depuis ce Moyen-Age tant décrié (par ceux qui l’ignorent) jusqu’au 18ème siècle, concernant le rôle primordial des femmes dans toute société, tel celui de Talleyrand : « Mais la politique, c’est les femmes! »
Jusqu’à ce que le code civil de Napoléon vienne rendre cette flexibilité quasi-impossible. Et jusqu’à ce que le mouvement women’s lib, créé pour précisément mieux les enchaîner sous couvert de les libérer, tourne la tête d’un grand nombre d’entre elles au point de leur faire oublier leur féminité, la gloire de leur maternité et leur santé mentale.
Il est tout de même réconfortant de voir dans le monde musulman que contrairement à leurs sœurs maghrébines si soumises, des femmes iraniennes défient ouvertement les ayatollahs dans la rue et refusent le port du voile – au péril de leur vie.