L’islamisme se nourrit du coran. Or, il n’y a qu’un seul coran et les versets de Médine, plus violents, plus belliqueux, plus mortifères, plus suprémacistes ont abrogé les versets plus tolérants de La Mecque, vraisemblablement inspirés des Evangiles. Pour chaque verset tolérant, il existe son contraire et c’est ce dernier qui est enseigné et appliqué par les islamistes, car le verset révélé en dernier abroge le verset annoncé en premier.
Le principe du verset abrogeant (nâsikh) et du verset abrogé (mansûkh) est contenu dans le coran lui-même.
Le « très modéré » Sultan d’Ankara, Erdogan, qui rêve de restaurer l’Empire ottoman a déclaré:
« Il n’y a pas d’islam modéré ou immodéré. L’islam est l’islam et c’est tout. » On ne saurait être plus clair.
En Occident, on présente aux naïfs infidèles la version édulcorée du coran (les versets de la Mecque) afin de les séduire. C’est là leur astuce.
Hitler était un admirateur de l’islam, il trouvait son idéologie compatible avec le nazisme, et « sa solution finale » à l’égard du peuple Juif suscitait l’enthousiasme du Grand Mufti de Jérusalem, et continue de nos jours à phagocyter les esprits de nombreux « savants » musulmans, imams radicaux et leurs fidèles.
Je discutais un jour avec un musulman qui essayait de me persuader que le coran était doux, tolérant et pacifique. Dommage pour lui, je l’avais lu. A ma question: « connaissez-vous, le
principe du verset “abrogeant” et “abrogé”, il me répondit “non”. » Il m’assura qu’il allait en parler avec son imam et me recontacter. Depuis, j’attends toujours…
© Rosaly pour Israël 24/7.org
