Une touriste néerlandaise a été arrêtée par la police locale après avoir effectué un salut nazi devant l’entrée de l’ancien camp de la mort nazi d’Auschwitz-Birkenau.
Apparemment, la touriste faisait un salut nazi alors qu’elle posait pour une photo prise par son mari devant le portail emblématique « Arbeit macht frei » (« Le travail libère ») lorsqu’elle a été arrêtée.
La touriste a plaidé coupable et a été condamnée à une amende.
Selon le porte-parole de la police régionale, Bartosz Izdebski, la femme « a expliqué que c’était une blague stupide. »
L’incident a été rapporté par l’AFP, nous connaissons tous l’AFP et sa réputation de militantisme. Or il se trouve que le nom de la néo-nazie n’a pas été révélé. Et nous pouvons prudemment supposer que s’il était agi d’une femme blanche, l’AFP n’aurait pas hésité à le glisser dans sa dépêche. Au lieu de cela, la mention « touriste néerlandaise » est répétée plusieurs fois dans la dépêche.
Pourquoi est-ce important ? Tout simplement parce que le public veut savoir si c’est une musulmane ou une femme blanche, et que ce n’est pas aux journalistes de décider quelle information ils donnent et laquelle ils cachent.
D’autant qu’il y a des précédents.
- En 2013, deux étudiants musulmans turcs ont été condamnés à six mois de prison et trois ans de sursis pour avoir effectué un salut nazi similaire devant la même porte de l’ancien camp d’extermination.
© Equipe de rédaction Israel247.org.
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Je me suis posé la même question. D’une part, les Néerlandais (je veux dire ceux pour qui les Pays-Bas sont autre chose qu’un coup de tampon sur un passeport) ne passent pas pour des nostalgiques du régime hitlérien ; d’autre part, je vois mal les envahisseurs musulmans d’Europe se donner la peine d’aller vérifier sur place une Shoah qu’ils nient par ailleurs. Mais la censure pratiquée par l’AFP est révélatrice.