La terroriste de Jérusalem-Est Isra Jabas a de nouveau déposé une demande pour payer une chirurgie esthétique sur son visage, défiguré lors de son attaque ratée en 2015, selon la Direction des prisons (SHABAS). Sa demande de chirurgie plastique avait déjà été rejetée deux fois auparavant.
Jabas purge une peine de 11 ans de prison pour la tentative d’attentat à la bombe de 2015 sur l’autoroute 437 près du poste de contrôle d’al-Zaim, près de Ma’ale Adumim. Un officier de police a arrêté une voiture suspecte dans laquelle Isra Jabas voyageait, transportant avec elle un engin explosif fabriqué à partir d’une bouteille de gaz. La femme a alors décidé à ce moment de commettre l’attentat, en criant « Allah Akbar », et a fait exploser sa bombe artisanale.
Elle a été grièvement blessée aux mains et au visage par l’explosion. Le policier qui se trouvait à proximité a également été grièvement blessé. Il a été hospitalisé pour des brûlures au visage et à la poitrine.
Après avoir été jetée en prison, la terroriste a subi une série de procédures médicales payées par Shabas, dont deux chirurgies reconstructives sur ses bras – cela mérite d’être mentionné, et discuté.
Après cela, Jabas a demandé aux Shabas le financement d’une chirurgie plastique pour restaurer son nez, mais la demande a été rejetée parce qu’elle « appartient à l’esthétique et n’est pas nécessaire à la santé ».
De plus, le juge Ron Shapiro avait justement statué en 2015 qu' »une blessure causée intentionnellement par un détenu est une raison de ne pas approuver des soins médicaux financés par les deniers publics ». Il a également demandé que soit rendue publique une liste standard des services médicaux disponibles pour les prisonniers.
Jabas a fait appel auprès du tribunal de district, et elle a perdu.
Elle a maintenant déposé une requête auprès de la Cour suprême, arguant que l’opération est nécessaire parce que la fonctionnalité de ses organes respiratoires est altérée en raison d’une blessure au nez, qui doit être restauré.
Comme l’a déclaré l’épouse du policier qui a souffert des actions de Jabas dans une interview accordée à la radio 103 FM, son mari souffre toujours de troubles post-traumatiques, et personne ne va opérer ses cicatrices de brûlures à la poitrine aux frais de l’État, on leur a dit de faire l’opération à leurs propres frais. Mais ils ne sont pas musulmans eux, donc ils ne bénéficient pas du soutien humanitaire des associations « humanitaires », qui se mobilisent pour qu’un traitement plus humain soit assuré aux Palestiniens.
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Source : https://news.israelinfo.co.il
On devrait accepter sa demande et en profiter pour lui faire un groin de truie
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En France, tout ce qui concerne les accidents de travail est plutôt bien pris en charge.