Un tribunal de Jérusalem a condamné une journaliste arabe à trois ans de mise à l’épreuve et à neuf mois de travaux d’intérêt général pour « sympathie à l’égard du terrorisme ».
Lama Ghosheh, 30 ans, reporter indépendante pour divers médias palestiniens et résidente de Jérusalem-Est, a été arrêté en septembre et assigné à résidence.
Selon l’acte d’accusation, outre l’incitation à la violence, elle a été accusée d' »identification à un groupe terroriste », en citant comme preuve des posts et des messages sur Facebook.
L’acte d’accusation décrit son travail de journaliste et les milliers de personnes qui la suivent comme lui apportant une audience et une crédibilité qui aggravent son cas.
Le tribunal lui a également infligé une amende de 4 500 shekels.
L’Union palestinienne des journalistes a déclaré que le verdict « exacerbe les violations commises par les autorités d’occupation à l’encontre des journalistes dans le cadre de leurs activités professionnelles, de la liberté d’opinion et d’expression ».
Son avocat a décidé de faire appel.
La liste des journalistes qui affichent leur sympathie pour les terroristes – déguisée sous des mots bien choisis – d’origine étrangère et travaillant pour des médias de première importance comme Le Monde, est très longue. Ils bénéficient de l’impunité que leur apporte l’artificielle aura de ces médias.
On ne connaît toujours pas l’identité du journaliste français qui a été pris au point de passage en train de faire entrer des grenades depuis Jénine.
© Equipe de rédaction Israel247.org.
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Elle est chanceuse de vivre en Israël car semer la haine et encourager le terrorisme lui mériterait la peine capitale dans certains pays de l’islam