Une jeune mariée sépharade découvre que son mari pourrait être palestinien

C’est l’histoire choquante d’une jeune mariée juive sépharade de Brooklyn qui a récemment découvert que son nouveau mari n’était peut-être pas le juif sépharade libanais qu’elle croyait, et qu’il prétendait être, mais un arabe palestinien musulman qui aurait vécu à Beyrouth.

Le FBI est intervenu dans l’affaire. La jeune mariée juive, qui s’est mariée il y a seulement deux semaines, vit actuellement dans une maison sécurisée dont l’adresse a été gardé secrète.

Après avoir vécu avec lui pendant plusieurs semaines, la femme avait commencé à avoir des soupçons et, une nuit, elle a découvert un passeport libanais avec sa photo et un autre nom.

Elle a immédiatement contacté sa famille et ses amis, qui ont prévenu les autorités.

La femme savait qu’Eliyah venait du Liban mais n’a jamais douté qu’il était juif puisqu’il était “frum” (orthodoxe en yiddish) et parlait couramment l’hébreu. Il avait également une histoire convaincante sur la raison pour laquelle il avait été coupé de sa famille. En outre, il a été affilié au Chabad du Texas pendant environ six ou sept ans.

L’homme aurait produit un “arbre généalogique” (truffé d’inexactitudes flagrantes), dans lequel figuraient même des noms ashkénazes (comme Meyer Lansky – le même nom que le truand). Il a également affirmé avoir travaillé pour la NSA et a même montré à sa femme une “lettre” de ses collègues de la NSA les félicitant pour leur mariage. Sa famille n’a pas assisté au mariage, et il a fourni diverses raisons/excuses pour lesquelles ils n’ont pas pu y assister.

Outre l’implication du FBI dans l’incident, le ministère américain de la Sécurité intérieure a été informé de l’histoire, ainsi que le consulat général d’Israël. Ils enquêtent pour savoir si l’homme est aux États-Unis légalement ou non.

En plus des autorités qui enquêtent sur cette histoire choquante, d’éminents rabbins et des organisations communautaires cherchent à savoir si l’homme n’a pas de mère juive.

Pour l’instant, la femme est gardée dans un lieu sûr, jusqu’à ce que l’identité réelle de l’homme soit confirmée.

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