Les organisateurs d’un festival international de musique hongrois ont interdit à un groupe de hip-hop espagnol de s’y produire, après que le groupe a mis en ligne une vidéo dégradant un drapeau israélien dimanche soir.
« Les actions du groupe Tribade vont à l’encontre de nos valeurs chères d’accueil et de respect, et nous condamnons profondément ce coup monté haineux », indique le communiqué du festival de musique Sziget. « Ils ne seront, bien entendu, plus invités à nos festivals à l’avenir ».
Bittah et Masiva Lulla de Tribade, des militantes des droits des LGTBQBC, se sont filmées dimanche soir lorsqu’elles ont repéré un grand drapeau israélien accroché à la tente de certains fans. Elles ont sorti des marqueurs noirs et ont griffonné en anglais « Free Palestine », « Israël n’existe pas » et ont dessiné une image d’organes génitaux masculins avec les mots « Bouffe ça ».
Les « artistes » ont ensuite téléchargé le clip sur leur page officielle Instagram Stories, avec une légende en espagnol indiquant : « Tribade ne revient pas sur sa parole. »
Le clip a été capturé et condamné par divers groupes de surveillance de l’antisémitisme – pas par les médias, vous vous en doutez bien.
Le ministère israélien des Affaires étrangères a dénoncé les actions de Tribade comme étant « horribles » et a déclaré qu’il demanderait des éclaircissements aux coordinateurs du festival, qui les ont fournis.
Inbal Mittleman, une fan israélienne présente au festival, a déclaré au site web Srugim que ce n’était pas le seul incident antisémite qui s’est produit.
« J’ai personnellement brandi un drapeau israélien pendant un spectacle et […] des gens ont jeté de l’alcool sur moi et m’ont crié de poser le drapeau. Ils ont essayé de me l’arracher », a-t-elle déclaré.
Le site sioniste Israellycooler a commenté :
« Au passage, le ‘tribadisme’ est apparemment une pratique sexuelle lesbienne, et leur compte Instagram s’appelle Tribade.dyke, il semble donc que les défacteurs fassent partie de la communauté LGBTQ. Ainsi, ils écrivent « Israël n’existe pas », alors que ce qui n’existe pas en réalité, ce sont les droits de leur communauté dans les territoires contrôlés par les Arabes. Qu’ils essaient de se produire là-bas et on verra ce qui se passera ! »
Le festival annuel Sziget, l’un des plus grands événements culturels d’Europe, attire des dizaines de milliers de fans et présentait cette année une programmation internationale de plus de 100 artistes.
Israël était représenté par les chanteurs Noga Erez, Echo et Lola Marsh. Les antisémites étaient représentés par Tribade.
© Equipe de rédaction Israel247.org.
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Source : https://worldisraelnews.com
Ces espagnols antisémites ont du sang arabe qui coule dans leurs veines. Les arabes de l’épque qui ont construit l’Espagne étaient les Maures!
Et les chiens ne font pas des chats!
Non, cent fois non, les Arabes n’ont pas construit l’Espagne, qu’ils n’ont d’ailleurs jamais complètement conquise. Il a fallu huit siècles aux Espagnols pour les chasser de la péninsule, et même aujourd’hui ils ne sont toujours pas populaires en Espagne – ne serait-ce qu’en raison des attentats terroristes islamistes de Madrid en 2004.
Le groupe ‘rap’ en question est originaire de Barcelone en Catalogne, province autonome de langue non espagnole, mais catalane, traditionnellement séparatiste et communiste, celle qui a constamment alimenté les guerres civiles qui ont dévasté l’Espagne au cours des siècles. Ceci explique l’affiliation aggressive du groupe au mythe ‘LGTB’, et leur soutien à cet autre mythe ‘palestinien’ créé à Moscou dans les années 1960.
Le site sioniste a dit exactement ce que je pensais.
« Une pratique sexuelle lesbienne »… on en apprend tous les jours.