Les propriétaires ont déclaré que le degré “étonnant” d’antisémitisme de la part d’autres gauchistes les avait forcés à fermer leur établissement.
Les bénévoles du café Pink Peacock, qui ne faisait pas payer les boissons mais laissait les gens décider combien ils voulaient payer leurs consommations, ont partagé sur les médias sociaux la nouvelle, expliquant que l’antisémitisme et le “capitalisme”, étaient à l’origine de l’échec du café.
“Comme tout le monde, nous luttons contre le capitalisme et la kyriarchie”, peut-on lire dans un message publié sur le site Web de l’établissement pour expliquer la fermeture. Heu… non, pas comme tout le monde, et heureusement, puisqu’aucun pays au monde qui a tenté le socialisme n’est parvenu au moindre succès – les pays du nord de l’Europe ayant intégré des mesures socialistes dans leur système capitaliste.
“En plus de la réaction de droite, que nous attendions de la part des “terfs” [féministes radicales trans-exclusives] et des lèche-bottes, nous avons reçu une quantité franchement étonnante de vitriol antisémite au cours des trois dernières années de la part de gauchistes, qui nous ont doxés [révélé publiquement leur adresse pour qu’ils soient harcelés et mis en danger], nous ont harcelés en ligne et hors ligne, et ont répandu des rumeurs selon lesquelles nous serions des “propriétaires”, des “patrons”, “profitant de l’holocauste”.
“Le harcèlement en provenance du SWP [Parti socialiste des travailleurs] a été le plus organisé, mais la plupart des harcèlements sont venus d’ailleurs. Plusieurs de nos membres ont déménagé ou prévoient de le faire, en partie à cause de l’isolement des Juifs, de l’antisémitisme incontrôlé en Écosse et de l’impact de ce harcèlement.
Certains bénévoles ont été “confrontés au racisme en interne”, ce qui est apparemment “déprimant et courant dans les espaces gauchistes à majorité blanche”. Etonné de l’apprendre, je n’ai pas entendu la même chose dans les milieux d’extrême droite.
Ils ont également déclaré avoir été contraints de débrancher leur téléphone en raison d'”appels de harcèlement antisémite”.
Sur les médias sociaux, ils affirment que leur personnel a subi “non seulement des commentaires, mais aussi des messages directs, des emails, des appels téléphoniques, du cyber-harcèlement, du harcèlement physique, des fenêtres brisées, du doxing, et des tentatives d’infiltration nazie”.
Dans un tweet, ils expliquent à quel point l’antisémitisme dépasse largement la sphère de l’extrême-droite, dont on ne voit jamais un tel acharnement.
“Un élément d’antisémitisme vraiment persistant auquel nous sommes confrontés est l’idée que les juifs ne font pas partie de la communauté. nous sommes des étrangers et des marginaux, quelle que soit notre origine. Par exemple, nos mentions sont pleines de gens qui disent que ‘“‘la communauté’ est contente que nous fermions”.
Ils ajoutent :
“Et c’est sans parler des choses non antisémites mais toujours horribles que nous avons reçues, comme la transphobie, l’homophobie juive et les accusations de “kapo” pour être antisioniste, et les relations para-sociales troublantes de fans qui nous ont envoyé, par exemple, des notes de suicide avec nos noms dedans”.
Le café accumulait la totale des clichés de l’extrême gauche : végétalien, sans alcool, fonctionnant selon un système de paiement volontaire et de dons, était Gay, anticapitaliste, anarchiste, et antisioniste – sauf un : l’antisémitisme, qui fait partie intégrante de l’idéologie gauchiste. Les activistes se sont empressés de leur en rappeler l’existence.
© Equipe de rédaction Israel247.org.
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Moche de dire ca ,mais bien fait pr eux.
Heureusement pour nous,il y aura toujours quelqu’un pour nous rappeler qui nous sommes 🇮🇱🕍