Trois universitaires, Anne-Laure Chaumette (professeure de droit public, université Paris-Nanterre), Vincent Duclert (chercheur au Centre d’études sociologiques et politiques Raymond-Aron) et Thomas Hochmann (professeur de droit public, université Paris-Nanterre) ont dénoncé dans une tribune au Monde une banalisation de la violence antisémite.
Ils ont ainsi appelé les universités et les individus à se mobiliser contre le fléau :
« Cet antisémitisme dans le milieu universitaire s’inscrit dans un contexte plus large : inscriptions dans les rues de France, sur les portes d’appartements, crimes répétés contre des Français visés comme juifs, implacablement assassinés. La violence des mots exposés est autant d’actes de terreur, menaçant l’existence au quotidien et la vie même de concitoyens traqués par la haine raciale….
Il s’agit d’une question de vie ou de mort pour les sociétés démocratiques. Au-delà du réflexe éminemment moral de solidarité pour les victimes qui nous commande d’agir, le souci de l’intérêt national pourrait et devrait gouverner les décisions individuelles de combat contre l’antisémitisme, afin qu’il demeure la honte de l’humanité, plutôt que son tombeau »
© Albert Soued, diffusion Israël 24/7.org
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Il est trop tard… avec la passivité des politiques, juges, policiers, journalistes…