Haim Pery était un militant de la paix. Son corps mutilé, torturé, a été retrouvé hier à Gaza avec trois autres otages.
Al Quassam Spokesperson Abu Ubeida:
— نبيل (@nsaree7) December 23, 2023
We lost contact with the unit responsible of taking care 5 captives from within:
– Haim Jurshon Pery
חיים פרי
2- Yuram Etak Mitzar
יורם מצגר
3- Amiram Israel Cooper
עמירם קופר
They were most probably murdered in an Israeli airstrike. pic.twitter.com/6Dr4SsF0if
A peu près tout ce que les hommes de droite dénonçaient en se faisant traiter d’islamophobes, de racistes, de xénophobes et de « nationalistes » s’est révélé proche de la réalité.
A peu près toutes les idées que les personnes de gauche défendaient (et beaucoup les défendent encore et les défendront toujours), à savoir que les « Palestiniens » sont largement des victimes, qu’Israël les maltraite, les humilie, qu’il faut s’occuper d’eux et les aider économiquement afin qu’ils changent leur logiciel de haine des juifs, s’est avéré faux, 1 200 fois faux, hélas.
Le corps de Haim Pery a été retrouvé hier. Pery était un militant de la paix. Il était bénévole au sein de l’association Road to Recovery, qui transportait des enfants malades de Gaza pour qu’ils reçoivent un traitement médical en Israël.
Le Hamas ne fait pas la distinction. Pour les nazis, il n’y a pas de bons juifs. Un terroriste ne vous demandera jamais si vous êtes de gauche, si vous défendez Israël, si vous militez avec les antisémites, comme Olivia Zemor ou Shlomo Sand, avant de vous égorger. Le Hamas a pris Pery en otage, l’a traîné à Gaza, l’a affamé, l’a torturé et l’a mutilé en captivité. Pery était plus concerné par le sort des habitants de Gaza que les hommes du Hamas.
Je suis sûr que cet homme avait un grand cœur, parce que j’ai des amis israéliens de gauche, et qu’ils pleurent en pensant aux « pauvres palestiniens » qui sont « pris entre deux feux ». Oui, ils pleurent toujours parce que l’Autre passe avant soi, pour quelqu’un élevé dans l’idéologie de gauche. Le philosophe Gilles Deleuze l’explique bien :
Être de gauche c’est d’abord penser le monde, puis son pays, puis ses proches, puis soi ; être de droite c’est l’inverse.
Regardez les hauts gradés de Tsahal, ils sont de gauche, et ils dirigent la stratégie militaire comme s’ils culpabilisaient, comme s’ils s’en voulaient d’être obligés de combattre les terroristes.
J’en ai fait l’expérience, il n’est pas possible d’expliquer à une gauchiste que le Hamas et les « Palestiniens » ne sont pas deux groupes distincts. On se heurte immédiatement à un mur émotionnel et idéologique. On voit le mur, infranchissable, immuable, quand on leur parle, et leurs oreilles se referment. Il n’y a tout simplement pas la place pour une autre conviction dans leur esprit. L’idée que « les arabes ne sont pas tous comme ça » prend toute la place.
Les enfants que Haim Pery a aidés ont grandi en étant endoctrinés par l’idéologie du Hamas. C’est tout ce qu’il faut comprendre.
Aussi gauchiste qu’il fut, Pery a été torturé et maltraité par les monstres du Hamas et il ne le méritait pas.
Je préfère pleurer mes « frères » israéliens morts ou en otage. Les gens de gauche sont aussi mes frères » mais vivent toujours dans l’illusion. Que D ieu les protège. Ils n’ont encore pas compris
C’est très nazi de remonter à la 3° génération pour distinguer les juifs à éliminer; évident que leurs émules du hamas ne font pas dans le détail pour trier les bons des mauvais juifs. Il faudrait les voir en otages, les Olivia Zemor et Salomon Sand, voir s’ils sont encore capables de virer leur cuti face au sabre de leurs protégés. Un rève. Feue ma mère était toute joie lorsque l’on parlait d’un juif connu, elle s’exclamait: « Nokh ha Yid ! » de contentement. La pauvre ne voyait pas de gauchistes antisémites pollués par la haine de soi, tous des Torquemada, les pires. Hélas.
Nokh ha Yid, ça peut être positif ou négatif !
Bien sûr cela alimente la rancoeur : » Encore et toujours ces Juifs à la tête de tout dans ce monde », des jaloux.
Seule réaction donc : » ha kappoure » !!!
( « qu’ils crèvent ! ») Point barre.
Malheureusement, même l’évidence ne suffit pas pour convaincre un citoyen de gauche. C’est bien là le drame…
« Être de gauche c’est d’abord penser le monde, puis son pays, puis ses proches, puis soi.. »
Non, être de gauche c’est fermer les yeux pour mieux rêver. Par peur de la réalité, par paresse, par faiblesse. Par orgueil aussi, en s’imaginant qu’il appartient aux hommes de contrôler la planète Terre – sinon l’univers. Assez de ces ‘bonnes intentions’ dont est pavé l’enfer, assez des massacres qu’elles ont engendré, il est temps d’avoir le courage d’ouvrir enfin les yeux et d’accepter le monde tel qu’il est.