Suite à son rapport accusant Israël, des voix s’élèvent pour enquêter sur l’antisémitisme à la tête d’Amnesty International

Cinq pays occidentaux pour l’instant – je doute que la France se joigne à eux, mais je peux me tromper – ont rejeté le rapport mensonger et antisémite d’Amnesty International accusant Israël d’être un Etat d’apartheid.

La Grande-Bretagne, l’Autriche, l’Allemagne, les Etats-Unis et la Tchécoslovaquie ont exprimé leur outrage.

Mais l’affaire ne s’arrête pas là. Des voix se lèvent pour enquêter sur Amnesty

Sur son compte Twitter, il écrit :

Le Royaume-Uni ne doit pas se contenter de rejeter le faux rapport d’Amnesty. Amnesty est basée en Grande-Bretagne et le Royaume-Uni devrait enquêter sur elle pour avoir publié un discours de haine antisémite qui enfreint la définition de l’antisémitisme de l’IHRA, à laquelle le Royaume-Uni a souscrit.

A l’attention de la commission caritative britannique : @amnesty & AmnestyUK ne violent pas seulement les normes éthiques de base dans leurs campagnes de propagande ; les sources de leur budget (334 millions d’euros/an) et leurs dépenses sont cachées dans un labyrinthe d’entreprises peu soucieuses des règles de transparence des organisations à but non lucratif.

Enfin Elliot Kaufman, dans un article paru dans le Wall Street Journal, relève que

le terme “apartheid” n’est pas utilisé par Amnesty dans son sens habituel. Amnesty le stipule dans son rapport. Son but est d’obtenir l’effet bien connu du terme.

https://www.wsj.com/articles/israel-palestine-apartheid-human-right-amnesty-international-1948-un-united-nations-report-11644006707?st=lzqmdlsh9nq766p&reflink=desktopwebshare_twitter

© Jean-Patrick Grumberg pour Israël 24 7.org

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