Cinq pays occidentaux pour l’instant – je doute que la France se joigne à eux, mais je peux me tromper – ont rejeté le rapport mensonger et antisémite d’Amnesty International accusant Israël d’être un Etat d’apartheid.
La Grande-Bretagne, l’Autriche, l’Allemagne, les Etats-Unis et la Tchécoslovaquie ont exprimé leur outrage.
- “Nous rejetons l’idée que les actions d’Israël constituent un apartheid” (Ned Price, porte-parole du département du Stade des États-Unis).
- “Nous rejetons les expressions telles que apartheid” (Christopher Burger, porte-parole du ministère allemand des Affaires étrangères)
- “Nous rejetons l’application de l’apartheid à Israël” (ministère autrichien des Affaires étrangères)
- “Je suis horrifié par un tel document antisémite” (président républicain tchèque Milos Zemen)
- “Nous ne sommes pas d’accord avec l’utilisation de la terminologie de l’apartheid” (ministère des Affaires étrangères du Royaume-Uni)
Mais l’affaire ne s’arrête pas là. Des voix se lèvent pour enquêter sur Amnesty
- Le colonel Richard Kemp suggère de déclencher une enquête pour incitation à la haine antisémite.
Sur son compte Twitter, il écrit :
Le Royaume-Uni ne doit pas se contenter de rejeter le faux rapport d’Amnesty. Amnesty est basée en Grande-Bretagne et le Royaume-Uni devrait enquêter sur elle pour avoir publié un discours de haine antisémite qui enfreint la définition de l’antisémitisme de l’IHRA, à laquelle le Royaume-Uni a souscrit.
- Quant au Professeur Gerarld Steinberg, fondateur et président de NGO Monitor, il relève qu’Amnesty a des sources de financement opaques et demande qu’une enquête soit ouverte. Il a signalé les pratiques douteuses d’Amnesty à la Commission caritative britannique :
A l’attention de la commission caritative britannique : @amnesty & AmnestyUK ne violent pas seulement les normes éthiques de base dans leurs campagnes de propagande ; les sources de leur budget (334 millions d’euros/an) et leurs dépenses sont cachées dans un labyrinthe d’entreprises peu soucieuses des règles de transparence des organisations à but non lucratif.
Enfin Elliot Kaufman, dans un article paru dans le Wall Street Journal, relève que
le terme “apartheid” n’est pas utilisé par Amnesty dans son sens habituel. Amnesty le stipule dans son rapport. Son but est d’obtenir l’effet bien connu du terme.
https://www.wsj.com/articles/israel-palestine-apartheid-human-right-amnesty-international-1948-un-united-nations-report-11644006707?st=lzqmdlsh9nq766p&reflink=desktopwebshare_twitter
© Jean-Patrick Grumberg pour Israël 24 7.org