La diversité des innombrables enjeux et problèmes qui se posent inévitablement à un Etat encore relativement jeune, peuplé d’une riche mosaïque d’immigration mondiale, est évidemment bien réelle.
Mais en principe, après des élections, majorité et minorité, toutes deux présentes à la Knesset, entrent en dialogue et cherchent un consensus, par des compromis, des ajustements qui établissent la paix sociale et permettent de s’unir tant bien que mal, et de se concentrer sur la défense d’un pays menacé par un ennemi implacable, l’islamo-suprématisme, face auquel toute défaite serait mortelle et finale.
Il n’y aurait a priori aucune raison pour que ce travail du vivre ensemble à l’israélienne ne puisse pas se poursuivre harmonieusement, dans l’intérêt de tous et de la patrie juive unique.
Si la division du pays est actuellement si profonde, si durable et si dangereuse, après les élections de 2022 qui ont installé une coalition conservatrice, c’est à mon avis du fait que sont entrées en jeu des forces extérieures puissantes et déterminées, face au relativement petit pays d’Israël.
Des forces extérieures puissantes
Hussein Obama a été président des USA pendant 8 ans au cours desquels il a eu le loisir d’installer méthodiquement un Etat profond, technologique, judiciaire, policier, administratif, médiatique, universitaire, etc. tout à sa dévotion.
Hussein Obama a été élevé comme musulman dans le système scolaire indonésien, et ses convictions profondes sont celles d’un islamo-suprématiste qui veut en fait imposer finalement à Israël la fameuse «Solution à deux Etats» suicidaire, avec un Etat «palestinien» judenfrei et terroriste, ayant sa capitale à Jérusalem, pour une fin assurée de l’indépendance et de la souveraineté juive, insupportable aux islamo-suprématistes de la Umma mondiale des Frères Musulmans, pour lesquels les juifs sont et doivent demeurer des «dhimmis» qui baissent les yeux devant les «nobles musulmans».
Une indépendance et une souveraineté juives sont considérées par les Frères Musulmans comme de l’insolence et de l’effronterie de la pire espèce.
Hussein Obama a par exemple placé à la tête de la CIA un certain John Brennan, diplomate en poste en Arabie Saoudite, converti enthousiaste à l’Islam, conservant pourtant son prénom chrétien, au détriment de toute clarté.
John Brennan a donc été chargé de saboter la candidature puis la présidence de Donald Trump, par des moyens crapuleux et totalement criminels, mais soigneusement dissimulés.
Etc., etc.
Hussein Obama est encore au pouvoir en ce moment, «leading from behind» selon sa propre expression, derrière Biden, sa marionnette sénile et soumise.
L’Etat profond US, mais aussi l’Union Européenne d’Ursula von der Leyen, le World Economic forum de Klaus Schwab, l’Open Society de Georges Soros et beaucoup d’autres organismes internationaux sont sous l’influence directe et prépondérante du Prix Nobel de la Paix Obama.
Un « compte à régler » personnel
Hussein Obama a juré la perte de Netanyahou, qui lui a résisté pendant 8 ans, en refusant tout retrait pour la «Solution à deux Etats» suicidaire, et qui a eu, en 2015, le culot de s’adresser directement au Congrès américain, lequel lui a fait 19 «standing ovations».
Netanyahou, homme d’Etat chevronné et habile, a une conviction chevillée au corps : Israël ne doit en aucun cas reculer, nulle part. Il s’est toujours opposé avec la dernière des fermetés à tous les retraits successifs manigancés par une gauche naïve et aventureuse.
Alors, à la suite de la victoire électorale de Netanyahou et de son retour à la tête d’Israël, dans sa rage, Hussein Obama manipule, subventionne, dirige des ambitieux jaloux comme Ehud Barak, Yaïr Lapid et Benny Gantz, chargés de mettre le pays en ébullition.
Il active sa CIA, et les organismes internationaux à sa dévotion.
Il déverse des fonds illimités pour mener un coup d’Etat comparable a celui qu’il a réussi en Ukraine en 2014, pour semer la pagaille entre Russie et Ukraine et mener le monde à l’orée d’une guerre nucléaire entre chrétiens.
Hussein Obama manœuvre pour faire s’affronter les juifs dans une guerre civile, et il y a suffisamment d’idiots utiles en Israël pour s’y prêter de bonne grâce, comme des moutons à l’abattoir.
L’influence mondiale et les moyens financiers d’Obama et ses alliés sont tels qu’Israël est vraiment en très grand danger de se perdre à tout jamais !
© Jean-Loup Mordekhaï Msika
Merci Mr Msika vous avez judicieusement peint le tableau de la situation passée et actuelle .Netanyahou grâce à D a gagné ses élections pour maintenir cet état comme foyer national juif au grand dam de Hussein Obama et compagnie
Ma petite personne a toujours pensé que M. Obama n’avait pas de bons sentiments à l’égard dl’Israel de M. Netanyahu, toujours pense que les dirigeants de ce monde n’étaient guère en faveur d’Israel malgré les persécutions envers la population Juive dans le Monde depuis +2000 ans . Eh bien non ils n’en ont pas assez fait. Ils veulent encore et encore anéantir ce peuple qui ne veut aucun autre pays hormis son pays, Israël .
c’est trop de monde contre Israël….
j’ai bien peur que… j’espère que non…
Merci
Tout dépend des juifs eux même qui doivent cesser de rechercher l’approbation du Monde et avoir confiance en eux, en leur droit à l’indépendance et à la souveraineté, sans tolérer ni autoriser la moindre interférence extérieure, et surtout pas de l’U. E. ou de BidenObama
Très bon résumé. Mais que peut faire le citoyen lambda sinon prier.
Le citoyen lambda a des pouvoirs à plusieurs niveaux. En Israël, il a un pouvoir certain et fort par son vote lors des élections, dont on voit qu’elles ont un impact sur la composition du gouvernement. En votant pour le parti que vous soutenez, vous augmentez les chances de son dirigeant de devenir Premier ministre. Et en votant pour le parti qui soutient le parti l’un des grands partis, vous doublez vos chances (avec un risque cependant, que le petit parti retourne casaque au dernier moment) : vous pouvez envoyer le Premier ministre de votre choix sur le podium gagnant, et le leader du petit parti pour lequel vous avez voté.
Premier levier fort pour le citoyen lambda.
Second levier fort : X. Maintenant que la liberté d’expression y a été restaurée, nous sommes revenus à l’ère de l’internet des années 2 000 où chacun a un pouvoir important. X est la grande plateforme pour présenter, militer, partager les articles de vos médias préférés afin d’étendre leur portée, et défendre vos idées politiques auprès de gens qui n’en ont pas, et s’informent (Facebook est désormais totalement dépassé, pour les messages politiques, les gens qui vous lisent sont relativement limités à vos cercles, et la censure est présente)