Préambule :
soyons clairs, il n’existe pas de réfugiés palestiniens. Déjà, il n’existe pas de « Palestiniens », ou plus exactement, tous les habitants de la région, et pas seulement les Arabes, sont des Palestiniens. Il y a des Arabes, des Juifs et des Chrétiens qui vivent dans la région de Palestine, qui englobe Israël, la Jordanie, la Syrie, Gaza et la Judée Samarie. Tous les habitants de cette grande zone géographique sont « Palestiniens ».
Deuxièmement, il n’existe pas, ou presque plus de réfugiés. Un réfugié est une personne qui a été contraint de fuir son pays pour échapper à la mort. Les Palestiniens n’ont pas de pays. Ceux qui ont fui la région en 1948 sont tous morts ou presque. Leurs enfants et petits enfants n’ont rien fui du tout : ils sont toujours là où ils sont nés.
Ceci étant rappelé…
Il est rare que l’ONU évoque le drame que vivent les Arabes parqués dans des camps, et les médias cachent totalement l’information – le public n’est même pas au courant de leur existence, sinon, cela montrerait que leur sort est bien meilleur dans les territoires soi-disant « occupés » par Israël (il n’existe pas de territoires occupés), que dans les pays arabes.
« Plus de 80 % des réfugiés palestiniens au Liban, en Syrie et à Gaza vivent sous le seuil de pauvreté », a déclaré le commissaire général de l’UNRWA, Philippe Lazzarini.
M. Lazzarrini a déclaré au Conseil de sécurité des Nations unies :
« Au Liban, la pression exercée sur l’Office pour qu’il fasse davantage pour faire face à l’impact de la crise économique et financière sur la communauté des réfugiés de Palestine devient insupportable. »
Il a ajouté : « les protestations et les actes de violence [des Arabes] dirigés contre l’UNRWA, obligent parfois mes collègues à fermer nos installations. »
« L’émigration illégale des réfugiés palestiniens augmente », a poursuivi Lazzarini.
Lazzarini a déclaré que l’UNRWA fait face à « une menace existentielle », tout en appelant les États membres qui ont réduit leur financement « à reconsidérer l’impact de leur décision sur la stabilité de la région. »
La réalité voudrait que l’UNRWA soit démantelé, son existence n’est pas justifiée.
© Equipe de rédaction Israel247.org.
Source https://www.naharnet.com/
Sans oublier toutes les lois qui, dans les pays arabes, interdisent au réfugiés arabes de Palestine et à leurs descendants d’exercer des professions libérales et limitent d’autres droits.
Enième rappel :
Dès le début, la Torah parle d’Erets Pélistine. Comme dit l’article, la région est vaste. Mais il existe un vrai problème dans la langue actuelle de francekipu. Depuis le pire mensonge antijuif inventé par le KBG en 1964, le mot « palestine » signifie, dans la langue de francekipu : « le pays que les sales Juifs ont volé aux déchets nazislamistes ». C’est pourquoi, l’usage de ce gros mot est à proscrire, concernant le territoire. Et bien sûr aussi, l’usage du substantif, désignant les déchets qui s’en proclament les occupant « légitimes ».
Je vois un cas où l’on doit employer le terme palestinien, et même le terme Cisjordanie : lorsqu’on cite quelqu’un.