Le gouvernement, l’administration postale et les représentants des travailleurs sont parvenus à un accord après des semaines de négociations en vue de la privatisation complète de l’entreprise postale israélienne, dont les performances sont au mieux… médiocres ce qui ne surprendra personne, c’est la même chose dans beaucoup de pays : ce sont des fonctionnaires ronronnants.
Les parties ont déclaré que les accords comprennent un plan d’efficacité et une réduction des charges salariales, une transition accélérée vers les services numériques, la livraison de colis hautement accessibles, un service dédié aux populations âgées, le retrait des services postaux et la promotion de conditions concurrentielles sur le marché postal.
Principes du schéma convenu par les parties
- Transition complète des services postaux vers le numérique dans un délai de 18 mois
- Amélioration du service sur le marché des colis – le client pourra choisir le point de collecte des envoi de l’étranger
- Mise en place d’un système d’envoi « colis depuis le domicile » dans lequel les colis, les lettres et le courrier recommandé seront collectés au domicile.
- Assurer le déploiement à l’échelle nationale des centres de distribution de colis en mettant l’accent sur les zones périphériques.
- Recharge des allocations sur la carte de débit sans nécessité de se présenter à l’agence.
Privatisation complète en deux temps
- Mise à la retraite d’environ 1 600 employés en trois fois d’ici la fin de 2023, pour un coût total d’environ 1,5 milliard de shekels.
- Transfert d’actifs à l’État
- Développement des moteurs de croissance et réduction de l’excès de réglementation
- Ouverture progressive des centres de distribution à la concurrence
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