Nouvelle résolution sur « l’Apartheid israélien » : la folie haineuse des communistes de l’Assemblée nationale française n’a pas de fond

Apartheid BDS en Espagne

Le député communiste Jean-Paul Lecoq présentera à l’Assemblée nationale ce jeudi 4 mai 2023, une seconde version de sa résolution sur l’apartheid israélien.

Malgré les protestations des défenseurs de la vérité et des faits, qui prouvent que l’Apartheid existe uniquement dans l’Autorité palestinienne, le sujet n’est plus tabou à l’Assemblée nationale.

« Je n’ai pas l’intention de lâcher », disait en septembre 2022 Jean-Paul Lecoq, député communiste de Seine-Maritime. Le vice-président de la commission des Affaires étrangères de l’Assemblée nationale, qui est également membre du groupe d’études France-Palestine, venait alors de présenter au Parlement un projet de résolution sur « l’institutionnalisation par Israël d’un régime d’apartheid à l’encontre du peuple palestinien », qui avait suscité une tornade de réactions négatives dans la classe politique française, de la droite au Parti socialiste.

Lecoq a tenu parole : sa haine est un très puissant moteur, et cette tribune qui lui est offerte est une occasion unique d’inciter à la haine.

L’Assemblée discutera, puis votera, ce jeudi 4 mai 2023, une nouvelle mouture de son projet de résolution « réaffirmant la nécessité d’une solution à deux États et condamnant l’institutionnalisation par l’État d’Israël d’un régime d’apartheid consécutif à sa politique coloniale ».

Parmi les signataires, quelques noms :

Les Verts hostiles, c’est nouveau

Il est hautement improbable que le texte soit adopté par l’Assemblée, mais le nombre de votants en sa faveur sera une indication intéressante de l’évolution des positions sur la capacité des députés français à gober des mensonges aussi gros que celui de l’apartheid israélien, à moins que certains d’entre eux soient bien informés qu’il n’y a pas d’apartheid (un Arabe est juge à la Cour suprême) mais qu’ils votent parce qu’ils n’aiment pas les juifs.

Le parti socialiste et la majorité des Verts sont hostiles à l’usage de ce terme.

Le vote de certains députées écologistes est regardé à la loupe par les activistes, qui font pression sur eux :

En revanche, du côté de LFI, qui a été exposé comme l’un des partis politiques les plus antisémites de France, plusieurs élus qui n’ont pas signé la proposition de résolution ont fait savoir qu’ils la voteraient. C’est le cas de :

Le Parti socialiste condamne le projet de résolution.

Pour l’extrême droite, la droite, la majorité et une partie de la gauche, parler d’apartheid à propos d’Israël est mensonger et vaut à ceux qui utilisent le terme d’être accusés d’antisémitisme, dont Jean-Paul Lecoq est l’une des dernières cibles en date. Surprise, il rejette ces accusations.

© Jean-Patrick Grumberg pour Israël 24 7.org

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