Il rêve il rêve le furet, le furet de l’Elysée (siffloter sur l’air de « il court il court, le furet »).
Le président français Emmanuel Macron a annoncé mardi que la France assistera l’Autorité palestinienne (AP) dans la rédaction d’une constitution pour un futur État palestinien. La déclaration, citée par Reuters, faisait suite à la rencontre à Paris avec le président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas.
Macron a indiqué qu’un comité mixte serait mis en place pour traiter «tous les aspects juridiques : constitutionnel, institutionnel et organisationnel». Il a ajouté, «Il contribuera aux travaux d’élaboration d’une nouvelle constitution, dont une ébauche m’a été présentée par le président Abbas, et visera à finaliser toutes les conditions pour un tel État de Palestine.»
La France, qui est très riche et n’a aucune dette, a également promis 100 millions d’euros d’aide humanitaire à Gaza pour 2025.
Abbas a déclaré,
«Nous sommes engagés en faveur d’une culture du dialogue et de la paix, et nous voulons un État démocratique, désarmé, respectueux de l’État de droit, de la transparence, de la justice, du pluralisme et de la rotation du pouvoir.»
Il a en outre salué les efforts du président américain Donald Trump et des partenaires internationaux pour mettre fin aux combats à Gaza et favoriser une paix durable, notamment le désarmement de groupes terroristes comme le Hamas.
L’Autorité palestinienne a longtemps exhorté les pays à reconnaître «la Palestine» pour contourner des négociations directes avec Israël. Si plusieurs pays ont reconnu «la Palestine» ces dernières années, ces reconnaissances sont restées essentiellement symboliques et ont eu peu, voire aucun, effet diplomatique concret, car selon le droit international et le statut même de l’ONU, seul Israël peut accorder le droit de créer un Etat.


C’était le jour anniversaire de la fin d’Arafat près de Paris.
Et aujourd’hui, j’ai entendu la radio d’Etat. Il était question des attentats du 13-Novembre 2015, sous un angle un peu particulier : la persécution dont les musulmans sont victimes.
« Il court, il court le furet… » était une contrepèterie.
C’est trop drôle, merci à vous d’apporter un peu d’humour par ces temps difficiles.
Islam et démocratie sont antinomiques, Macron n’a toujours pas compris!!!