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Les sinistres ingénieurs du conflit israélo-palestinien -Part III

Par Thérèse Zrihen-Dvir
14 novembre 2025
Les sinistres ingénieurs du conflit israélo-palestinien -Part III

Vous pouvez consulter la première partie ici, et la seconde là.

Frans Snyders et Pierre Paul Rubens

Ou

LE LION ET LA SOURIS – LA FONTAINE

Synthèse sur la lâcheté des Britanniques envers les juifs de Palestine et du monde entier, Juifs qui avaient activement contribué à la lutte contre Hitler, aux côtés des alliés. En remerciement, ils reçoivent un poignard dans le dos.

Mais penchons-nous sur les contrecoups de la Seconde Guerre mondiale sur le conflit israélo-palestinien. D’aucuns se demandent si par hasard, la Grande-Bretagne aurait  changé d’avis au sujet d’une « patrie juive », ou comment, une insurrection sioniste clandestine a vaincu les Britanniques ? Et les frontières d’Israël, de Gaza et de la Judée et Samarie qui les a créées ?

La clause concernant les droits des populations existantes s’avère extrêmement difficile à implémenter. Suite à l’échec du rapport Peel et au soutien des auxiliaires juifs pour mater la révolte arabe, la Grande-Bretagne impose la loi martiale, déchaînant une marée de troupes, pour tuer, emprisonner et exiler les dirigeants arabo-palestiniens. La Seconde Guerre mondiale qui se profilait incita le gouvernement britannique à tenter d’aller plus loin pour mettre fin à la dissidence.

Dr James Bulgin : « Les tentatives de la Grande-Bretagne de concilier plusieurs objectifs différents afin de maintenir la stabilité dans la région et de protéger ses intérêts territoriaux, notamment le canal de Suez, qui est non seulement un lien vital avec l’Empire britannique d’outre-mer, mais aussi la voie par laquelle le pétrole persan était convoyé vers la Grande-Bretagne.

Le canal de Suez est au fait, la véritable raison de tout le remue-ménage.

La menace imminente d’une guerre mène la Grande-Bretagne à évaluer les avantages et inconvénients tant sur le plan politique que stratégique, optant pour l’apaisement des Arabes de Palestine afin de les pousser à se ranger sans ambiguïté aux côtés des Juifs de Palestine. Si le soutien des groupes juifs dans tout conflit futur leur était assuré à court terme en raison de l’idéologie d’Hitler, celui des Arabes était beaucoup moins certain, nonobstant les généreux compromis de la Grande-Bretagne ».

C’est un revirement total de la position du gouvernement britannique. Dans le Livre blanc de 1939, la Grande-Bretagne affirmait qu’avec 450 000 Juifs vivant désormais en Palestine mandataire, celle-ci devenait de facto le « foyer national du peuple juif », entérinant sans ambages, l’exécution de la déclaration Balfour. Au lieu de partitionner le pays, les Britanniques évoluaient vers la création d’un État palestinien indépendant dans les dix prochaines années, dans lequel Arabes et Juifs partageraient le pouvoir, aucune mention d’un État juif ou de foyer juif, mais bien un État palestinien à minorité juive.

Le Livre blanc est la preuve de ce projet : Il prévoyait simultanément des restrictions rigoureuses sur l’achat de terres par les Juifs, limitait l’immigration juive à seulement 75 000 personnes au cours des cinq prochaines années. En principe, cette clause garantissait du même revers de main, la dominance/suprématie du groupe des Arabes de Palestine dans le nouvel État palestinien ». Les juifs étaient destinés à devenir une minorité qui ne survivra jamais au sein d’une majorité arabe, polygame et extrêmement féconde – Cette proposition était en fait, une espèce de « Solution Finale » ou bien un moyen de venir à bout de toute présence juive sur ses terres ancestrales. Qui a besoin d’un Hitler, n’est-ce pas ? Les Anglais étaient les premiers à creuser une tombe aux Juifs.

Dr James Bulgin : « La consternation de la majorité des sionistes face aux propositions énoncées dans le Livre blanc de 1939 avec ses restrictions à l’immigration, condamnait des centaines de milliers de juifs d’Europe aux persécutions infligées par les nazis et leurs collaborateurs, en parallèle à la suggestion d’un objectif global totalement différent – en quelque sorte, une guillotine, magistralement illustrée par le fait que le rapport, avait été initialement publié 30 minutes à peine avant la mort du fonctionnaire nazi Ernst vom Rath – diplomate allemand, connu pour son assassinat à Paris en 1938 par un adolescent juif polonais, Herschel Grynszpan. Assassinat cyniquement exploité qui servit de prétexte à la Nuit de Cristal (Kristallnacht), les 9 et 10 novembre 1938.

Quant à la réaction arabe au Livre blanc, elle était nettement bien loin de celle anticipée par les Britanniques. La révolte de 1936 avait carrément durci les positions de tous les partis impliqués, hormis les plus modérés d’entre les Arabes de Palestine qui cautionnèrent le Livre blanc. Les prétendus nationalistes (J’ignore de quelle nation il s’agit, puisque la Palestine n’était pas une nation) radicaux, dont Amin Al-Husseini, le rejetèrent, le jugeant insuffisant. Amin al-Husseini s’en alla chercher chez Hitler la promesse de mettre fin à la présence juive en Palestine.

En réponse aux restrictions en matière d’immigration, les milices sionistes s’attelèrent à faciliter l’immigration juive illégale/clandestine. Mais avant que leur résistance ne se transforme en révolte ouverte, la Seconde Guerre mondiale éclatait. Les Juifs palestiniens se rallièrent alors à la cause des Alliés, tandis qu’Al-Husseini s’efforçait d’obtenir le soutien des puissances de l’Axe.

La guerre, et en particulier l’Holocauste, au cours duquel 6 millions de Juifs européens furent assassinés, allait bouleverser le conflit en Palestine mandataire.

Dr James Bulgin : « Le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale eut un impact profond sur les événements en Palestine mandataire. La plupart des membres de la résistance sioniste cessèrent toute action directe, craignant de compromettre l’effort de guerre des Alliés contre l’Allemagne. Comme le suggéra David Ben Gourion, futur Premier ministre israélien : « ils combattront le Livre blanc comme s’il n’y avait pas de guerre et la guerre comme s’il n’y avait pas de Livre blanc ».

Au niveau international, la prise de conscience croissante de l’Holocauste a suscité une sympathie considérable pour la cause sioniste. De nombreux Juifs survivants estimaient que leur présence en Europe était désormais intenable. Ayant tout perdu, et souvent tous leurs proches, ils n’avaient aucune envie de retourner dans les lieux où leur vie avait été si complètement dévastée. De son côté, la Grande-Bretagne demeurait très réticente, en dépit de la pression de l’opinion mondiale, à lever les restrictions sur l’immigration en Palestine mandataire.

En 1944, alors que la victoire des Alliés semblait plus certaine, deux milices sionistes l’Irgoun et le Lehi lancèrent une insurrection contre la domination britannique, assassinant le diplomate Lord Moyne en novembre. Toutefois, la résistance ne s’était pas encore généralisée. En 1945, le gouvernement travailliste britannique nouvellement élu, dirigé par Clément Atlee, fit campagne en promettant de mettre fin aux restrictions sur l’immigration juive. Mais craignant d’exacerber les tensions entre les Arabes palestiniens et nuire aux relations avec les États arabes voisins, Atlee changea d’avis dès son arrivée au pouvoir. En guise, quelque 50 000 réfugiés juifs en route vers la Palestine furent redirigés vers des camps à Chypre. Les conditions de vie des survivants juifs de l’Holocauste détenus derrière des barbelés ont suscité de nombreuses critiques. La position de la Grande-Bretagne étant désormais claire, la Haganah, la plus grande milice sioniste se joignit à l’Irgoun et au Lehi pour former le Mouvement de résistance juif. Leur objectif était de chasser les Britanniques. Ensemble, ils prirent pour cible le contrôle de l’immigration, les infrastructures de transport et les installations militaires britanniques. En réponse, les Britanniques restreignirent les libertés civiles en 1945, lançant une série de raids et de perquisitions en 1946, sous le nom de code « Opération Agatha ».

Dr James Bulgin : « Leur intention était de lutter contre ce qu’ils décrivaient comme des « organisations armées juives illégales en Palestine ». Ces organisations ont mené une campagne de violence, de terreur, de sabotage et de meurtres. Une énorme quantité de documents, qui s’avèrent d’une grande valeur et d’un grand intérêt, ont été saisis au cours des opérations. Ces documents ont ensuite été transférés à l’hôtel King David à Jérusalem, où l’administration britannique était hébergée aux côtés d’un certain nombre de militaires. En juillet 1946, cet hôtel est bombardé par l’Irgoun.

« L’attaque a fait 91 morts et a suscité de nombreuses critiques de la part des gouvernements internationaux et d’autres organisations sionistes. De son côté, l’Irgoun a affirmé qu’il n’avait jamais eu l’intention de tuer qui que ce soit et que les avertissements envoyés avant l’attaque avaient été ignorés. La cible principale était les documents qui avaient été saisis lors de l’opération Agatha. Face à la condamnation publique, de nombreux Britanniques ont commencé à se demander si le mandat valait la peine d’être maintenu. L’opinion publique était de moins en moins disposée à sacrifier davantage de vies britanniques pour le protéger ».

La violence s’intensifia, nonobstant la dissolution du mouvement de résistance juif, après l’attaque de l’hôtel King David, l’Irgoun et le Lehi continuèrent à attaquer des cibles britanniques. En juillet 1947, l’Irgoun avait kidnappé, pendu et piégé les corps de deux sergents britanniques dans une plantation d’eucalyptus près de Netanya. Ces attaques, largement condamnées, ont déclenché des émeutes anti-juives en Grande-Bretagne. Pour beaucoup, l’affaire des sergents, comme on l’a appelée, a été « la goutte d’eau qui a fait déborder le vase ».

La Seconde Guerre mondiale ayant pratiquement ruiné le Royaume-Uni et l’opinion publique, tant en Grande-Bretagne que dans les pays concernés, était en train de changer. Au cours des trois années qui suivirent 1945, l’Inde, le Pakistan, la Birmanie et Ceylan obtenaient leur indépendance. En fin de compte, le mandat en Palestine n’était censé être que temporaire, et la Grande-Bretagne n’en voulait plus, surtout après l’abandon de l’Inde.

Tous les autres mandats de classe A de la Société des Nations ayant désormais obtenu leur indépendance, la Grande-Bretagne a transféré le mandat sur la Palestine à l’Organisation des Nations unies nouvellement créée en 1947. S’inspirant du rapport Peel de 1936, elle recommanda une partition en deux États indépendants avec une union économique et une zone internationale autour de Jérusalem. La plupart des groupes arabes rejetèrent ce plan, s’opposant à la partition en principe et à la manière dont les frontières avaient été tracées. La plupart des sionistes, en revanche, avaient volontiers accepté la proposition, y voyant un tremplin vers leur ambition ultime d’un État juif plus étendu.

En novembre 1947, le plan a été adopté par l’ONU avec le soutien des États-Unis et de l’Union soviétique. Le Royaume-Uni s’est abstenu et a déclaré qu’il se retirerait le 15 mai 1948. La violence s’est alors installée entre les Arabes de Palestine et les Juifs. Même si le nombre de morts augmentait, la Grande-Bretagne demeurait largement en retrait.

Comme l’a déclaré Rees Williams, sous-secrétaire d’État aux colonies, à la Chambre des communes, « la manière dont le retrait de la Palestine s’est déroulé est sans précédent dans l’histoire de notre empire ». À bien des égards, cela était emblématique de toute cette période ».

La guerre civile en Palestine ne connaissait aucun répit. S’il semblait au début que les forces arabes avaient le dessus, les communautés juives en Palestine étant dispersées, les forces arabes ont pu les bloquer, notamment à Jérusalem où 100 000 Juifs étaient pris au piège. Mais à la fin du mois de mars 1948, les milices sionistes lancèrent le plan Dalet. Cette offensive visait à créer une continuité territoriale et à sécuriser leurs frontières en prévision d’une invasion par les États arabes voisins. Lorsque les forces sionistes attaquèrent, des centaines de milliers de réfugiés arabes palestiniens fuirent leurs maisons. Les causes de cette fuite sont encore controversées. Certains sont partis de leur plein gré, d’autres par peur et d’autres encore par la force. De nombreux réfugiés ont emporté leurs clés avec eux, pensant pouvoir rentrer chez eux rapidement.

Le 14 mai, les sionistes  proclamaient le nouvel État d’Israël. Le lendemain, les États arabes voisins envahissaient le territoire. Les forces arabes n’étant pas préparées à la guerre face aux forces israéliennes qui purent conserver leur territoire. Au cours des neuf mois suivants, elles ont constitué des forces suffisantes pour repousser les Arabes bien au-delà des terres qui leur avaient été attribuées dans le plan de l’ONU de 1947 ».

Dr James Bulgin résume : « La révolte de 1936 avait laissé les Arabes de Palestine sans chef et considérablement affaiblis. Bien qu’ils aient été soutenus par d’autres États arabes, ceux-ci avaient des intérêts et des agendas différents et avaient souvent des objectifs contradictoires. En revanche, même s’il existait des divergences entre les convictions des différents groupes juifs, ceux-ci étaient totalement unis dans la cause commune de la création et de la protection de l’État juif.

 « À la fin de la guerre, en 1949, la Palestine avait disparu de la carte. Israël contrôlait 60% du territoire de l’État arabe proposé, le reste étant contrôlé par la Jordanie et l’Égypte. 700 000 Arabes palestiniens ont fui ou ont été expulsés de leurs foyers, un événement connu sous le nom de « Nakba » ou « catastrophe ». Au cours des années suivantes, 260 000 Juifs ont émigré des États arabes voisins, certains par choix, d’autres par la force. Environ 150 000 Arabes palestiniens sont restés en Israël. Aujourd’hui, leurs descendants sont plus de 2 millions, ce qui en fait le plus grand groupe minoritaire du pays. L’héritage de la guerre israélo-arabe est toujours au cœur du conflit actuel entre Israël et la Palestine ».

Dr James Bulgin : « En fin de compte, l’administration britannique du mandat n’a jamais été qu’une simple opération de sauvetage, passant d’une politique à l’autre dans le but de maintenir le mandat et de protéger ses propres intérêts stratégiques. Le dernier jour du mandat, le secrétaire en chef de l’administration britannique a convoqué une conférence de presse dans son bureau de Jérusalem. L’un des journalistes présents lui a demandé : « À qui comptez-vous remettre les clés de votre bureau ? ».

« Je les laisserai sous le paillasson », a-t-il répondu.

Ce qui découle de tout ce conflit est que le sang anglais ou français est beaucoup plus précieux que celui des juifs et des Arabes, mais qu’importe, la haine du juif ne s’est jamais éteinte, que ce soit en Europe ou en Palestine, panachée de guerres, de conflits, de réjection, de blâme, de jalousie, de convoitise et d’assassinats.

Affichant un sourire sarcastique, cette insignifiante poignée d’hommes juifs poids-plume dans les balances des empires, observe, leur lent déclin, leur perte des colonies en l’espace de 75 ans, leur faillite et leur immersion sous le flot de l’islam conquérant.

RIRA BIEN CELUI QUI RIRA LE DERNIER.

© Thérèse Zrihen-Dvir

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Commentaires 3

  1. Baba says:
    Il y a 3 semaines

    Les 2 millions d’arabes « palestiniens » ne sont pas tous, loin de là, des descendants des 150 mille restés après 1949. La grande majorité des arabes d’Israël n’est pas originaire de « Palestine » mais des pays avoisinants; c’est une vérité soigneusement cachée par toutes les nations.

    Répondre
  2. VINCENT says:
    Il y a 3 semaines

    Bien, on va le faire savoir !

    Répondre
  3. Marc Tremblay says:
    Il y a 3 semaines

    Merci pour ce rappel de l’histoire en 3 volets. L’histoire que beaucoup ne connaissent pas soit par manque d’intérêt au sujet de la situation d’Israël et du moyen orient. Soit qu’ils ne veulent pas la connaître afin de se donner bonne conscience, fuyant la responsabilité de se positionner face à la vérité historique. Il y a ceux qui la déforment de façon a justifier leur partie prix… Il y a plus de 20 ans j’ai fait l’acquisition d’un livre au titre très évocateur qui relate ce qui c’est passé en 1948 lors de la bataille pour Jérusalem. C’est « O Jérusalem » de Dominique Lapierre et Larry Collins, parut en 1971 aux éditions Robert Laffont. Il contient beaucoup de détails, des photos et des cartes. Ce livre m’a été une source d’informations fiables sur cette partie de l’histoire de Jérusalem. Merci encore Thérèse pour le partage de ces faits historiques.

    Répondre

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