Les étudiants de l’université polytechnique de l’État de Californie, à Humboldt ont rebaptisé l’un des bâtiments occupés “Intifada Hall”.
- Humboldt a fermé son campus samedi “en raison de la poursuite de l’occupation de Siemens Hall et Nelson Hall, ainsi que des problèmes persistants posés par des individus qui enfreignent la loi aux alentours des bâtiments”, a déclaré l’université publique du nord de la Californie. Les cours ont été transférés en ligne.
- Les administrateurs de Cal Poly Humboldt estiment que le coût des dommages subis par le campus se chiffre en millions, selon le Los Angeles Times.
Les mots “Free Palestine” et “Palestine” ont été graffités sur deux bâtiments de l’université de Portland, une école catholique privée de l’Oregon.
Certaines universités font également l’objet de poursuites judiciaires liées aux manifestations.
- Columbia fait l’objet d’un procès de la part de groupes d’étudiants pro-Hamas,
- Un autre procès de la part de manifestants qui pensent que leurs droits civiques ne sont pas respectés,
- des étudiants juifs ont déposé plainte pour le harcèlement qu’ils subissent et l’incapacité de l’université à les protéger,
- L’université de Harvard fait également l’objet de poursuites de la part d’étudiants palestiniens, et un autre procès de la part d’étudiants juifs.
Et à tout cela s’ajoute le retrait de dons, qui se chiffrent en centaines de millions.
- Le propriétaire des New England Patriots, Robert Kraft,
- l’investisseur milliardaire Leon Cooperman et
- l’industriel Len Blavatnik ont retiré leurs dons à l’université de Columbia ou envisagent de le faire.
- Le trio a donné près de 100 millions de dollars à Columbia, selon une estimation citée par le New York Post.
Le coût des manifestations n’est pas uniquement financier.
- L’université de Californie du Sud, à Los Angeles, a annoncé la semaine dernière que sa principale cérémonie de remise des diplômes serait annulée en raison des “nouvelles mesures de sécurité” prises sur le campus à la suite de manifestations anti-israéliennes.
Parfait! De toute façons ce n’est pas grave, l’ayatollah vient d’annoncer qu’il offrait des bourses aux étudiants américains renvoyés qui souhaiteraient s’inscrire à l’université de Ispahan. Espérons que beaucoup – surtout les demoiselles – saisiront cette offre généreuse au bond, ce qui présenterait deux avantages : d’une part, un séjour en Iran leur fera enfin comprendre pour quoi et pour qui ils ont manifesté ; et d’autre part, en débarrassant le plancher ils permettraient un nettoyage en profondeur des universités américaines.
Si seulement l’ayatollah avait l’amabilité d’étendre sa générosité aux professeurs et administrateurs universitaires qui sont à l’origine de cette récolte d’abrutis, le nettoyage n’en serait que plus efficace.
PS: Le Yémen se joint à l’Iran pour inviter les étudiants américains expulsés à finir leurs études dans ses universités. Impossibe de résister à une offre aussi alléchante!