Les démocraties, otages de la confrérie musulmane

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C’était prévisible. Même un enfant pouvait le deviner. Le monde libre a perdu sa liberté, son libre-choix, sa démocratie, tant chérie. Il a été ébloui par la richesse du Qatar et des pétrodollars et a mordu à l’hameçon. Il s’est gavé jusqu’à suffoquer. Tout ce qui brille n’est pas forcément de l’or, nous dit le fameux proverbe.

L’homme, cet insatiable animal, s’est vautré, s’est goinfré, s’est oublié, et maintenant il se voit contraint de payer la facture. Elle est dure cette facture. Il doit abandonner les rênes de son pays et les offrir, les yeux pleins de larmes, à l’acheteur qui n’est autre que ce musulman en burnous auquel il se voit forcé de lécher les babouches.

Quel est le prix de la liberté ? Elle n’a aucun prix. Sans elle, c’est la servitude, la dépendance, l’assujettissement, l’asphyxie jusqu’à perte des sens.

Regardez les universités américaines et européennes qui n’ont plus rien d’américain, ni d’européen, sinon le nom. Elles sont à l’image du Hamas, de la barbarie… Et le président des USA ? Lui aussi est pris dans les pinces de ces musulmans, qu’ils soient saoudiens, qataris, égyptiens ou autres. Il danse sous leurs coups de fouet et est contraint d’abandonner ses actifs, ses alliés qu’il entraîne vers leur perte en proposant leur tête aux quémandeurs pour satisfaire les exigences des nouveaux propriétaires.

À quoi vous serviront vos bombes atomiques lorsque vous n’aurez plus le droit au sol ? Lorsque le terrain sur lequel vous vivez appartient à un autre qui réclame son dû et le fait sans restriction ni honte… Vous avez obtenu le prix d’une vente en due forme. C’est justice.

Et comme la cigale, si vous avez chanté l’été vous danserez l’hiver… vous avez vendu vos institutions, vos usines, vos concitoyens… votre âme, puisque du même coup, votre droiture, votre culture, votre passé, vous les avez effacés et le vainqueur « takes it all… », comme dit le chant. Il prendra le tout et les substituera avec les siens… et dira « l’Amérique, l’Europe sont des terres d’Islam ». Personne ne sera là pour le contredire.

Mais enfin, vous n’en aurez de toute façon plus besoin ! Vous vous êtes attelé à la décomposition de l’humanité, et avez cessé de vous reproduire. Plus de genre, plus d’enfants, plus de dieu ! À quoi vous serviraient la nation et la culture, puisque plus rien n’a de valeur à vos yeux.

C’est la faillite totale que vous avez décrétée, en commençant par tuer Dieu, comme le disait Nietzche. Ni dieu, ni homme, ni enfants, c’est le vide et c’est la robotisation qui se profile, mais qui ne trouvera pas d’acheteur chez les islamistes et chez certains juifs dont quelques-uns s’agrippent encore à leur foi, à leur Dieu ?

Quant aux islamistes, ils refusent l’homosexualité, qu’ils punissent de mort. Ils ne sont pas prêts à abandonner leur culture, leur passé et gardent jalousement leurs frontières. C’est à se demander si leur Allah ne serait pas plus raisonnable que ne le sont toutes les démocraties ?

Qui êtes-vous alors ? Des ombres éphémères et blasées qui s’achètent le billet de la vie « aller sans retour ». Dans ce cas, vous avez raison de ne rien vouloir. Vivez au jour le jour sous la domination des plus intelligents et des plus convaincus que vous. Et peut-être qu’à la longue, vous gagnerez quelque raisonnabilité à leurs côtés.

Ce sera à l’évidence, une substitution de population calme, panachée de terreur, mais sans véritable révolte, dans un accord tacite que ceux qui conservent encore quelques fibres nationales se verront contraints d’accepter.

Demain, c’est l’islam dans son apothéose. Les nouveaux maîtres, permettront-ils quelques brèches pour s’évader ? J’en doute. Le hors-d’œuvre du 7 octobre 2023 en Israël en dit long sur ce que l’humanité entière va devoir anticiper.

Thérèse Zrihen-Dvir

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