Un renversement spectaculaire s’est produit, provoqué entre autres, par l’intensification de la mondialisation et ses considérables effets politiques, économiques, sociaux et culturels. Célébrée au départ par nombre de penseurs comme porteuse de félicité, elle s’est révélée avoir aussi de redoutables effets délétères. Ainsi, de nos jours, la démocratie recule dans le monde entier.
Dans le monde islamiste, le rejet de celle-ci est total et se double d’une haine des mécréants qui trouve des relais jusque dans nos sociétés européennes.
68% des Français, 71% des Italiens, 72% des Polonais déclarent que leurs responsables politiques sont corrompus, sentiment partagé par un Allemand sur deux. Enfin, l’écrasante majorité des habitants de ces quatre pays estiment que leurs responsables politiques sont déconnectés de la réalité et ne servent que leurs propres intérêts. Tout cela explique en partie une abstention croissante et le vote pour des partis protestataires et populistes.
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Comme toute chose en ce bas-monde, la démocratie a ses bons et mauvais aspects. Les mauvais peuvent creuser la tombe à tous ces pays qui s’appliquent contre vents et marées, à la maintenir intégralement.
À commencer par le franc-parler, la liberté d’expression, souvent employée à mauvais escient.
Chacun de nous possède une logique, et parfois ou souvent, très peu de morale, de conscience, émanant de nos aspirations individuelles, de nos conceptions que nous cherchons d’une manière ou d’une autre à imposer, inculquer, impressionner, suggérer à toute audience dotée d’une ascendance évidente ou sans.
Nous pouvons, par nos mots militer pour un parti, un courant qui convient mieux à un milieu stéréotypé, mais pas forcément à la majorité – toujours sous la graine de nos desseins influencés principalement par l’appât de gains financiers, ou alors afin de défier une entité, un cercle qui nous nargue et perturbe notre indolence. Et c’est à partir de tout cela que nous commençons à flirter avec des contre-courants malsains et le plaisir momentané d’observer le mal dans son apothéose.
J’ai vainement tenté et à maintes reprises de glisser dans les chaussures d’un criminel avéré, afin de définir son état d’âme, son psychique, sa foi, ses croyances individuelles, ses réflexes surtout lors d’un assaut contre toute autre personne. Je ne suis jamais parvenue à atteindre cette capacité d’armer mon bras contre toute créature humaine ennemie. Contrairement à mon assistante qui ne put s’abstenir de déclarer qu’elle n’éprouve aucune pitié envers les enfants de ceux qui ont perpétré le massacre du 7 octobre, 2023. Je comprends sa détresse, mais ne peux l’approuver. Est-ce ma foi, mes croyances ou simplement une faiblesse ?
Mon ami Philippe décrivait à ce sujet l’attitude des nazis, qui pointaient leurs fusils sur d’innocents civils juifs, enfants, adultes et vieillards, pour finalement déclarer sans ambages qu’ils vivaient un coït sexuel, comme sous l’effet d’un aphrodisiaque. Cette même phrase a été émise par feu le roi du Maroc, Hassan II, lorsqu’il décrivait l’attitude du musulman face au juif et israélien.
« La haine d’Israël et du juif est l’aphrodisiaque le plus puissant du monde arabo-musulman » (Hassan II, Roi du Maroc dans L’heure de vérité | Antenne 2 | 17/12/1989) »
Mais alors, est-ce le même cas pour ces journalistes qui, à loisir, sèment les germes du doute, sinon et franchement, celles des conflits, des guerres, de la haine, pour indirectement influencer des criminels musulmans en herbe à passer à l’action contre les Juifs ?
Parlons d’un simple journaliste qui affirme que la Palestine est arabe et appartient aux Arabes. S’il avait pris le soin de s’informer dans le Larousse français, il se verrait contraint d’admettre qu’il est dans l’erreur. Le drapeau de la Palestine des années 1939 – avant la déclaration de la création de l’État d’Israël en 1948 – ressemble comme deux gouttes d’eau à celui d’Israël de nos jours.

S’il allait plus loin dans l’information, dans les détails, il se heurterait à tant de désinformations qui à l’heure actuelle, noircissent les manchettes des journaux quotidiennement, et battrait en retraite, éléments aptes à aller contre ses plans originaux, son antisémitisme, sa haine du juif qu’intentionnellement il entend propager. Dilemme : Ignorer cette information et maintenir sa désinformation, ou reculer. Généralement il optera pour la première alternative qui sied à ses besoins de l’heure.
L’audience est en générale, peu informée et trop flemmarde pour vérifier ce qu’on lui fait admettre ou avaler, et ainsi, des journalistes, peu consciencieux et malfaisants, mèneront des peuples vers une guerre, la mort, la désolation et la ruine. Dans le cas de l’Europe, c’est vers une substitution de peuples.
Blanchir la terreur sous la démocratie est devenu banal, comme dirait Arendt.
Peggy Sastre dans le Point : Ils ne se cachent plus – mieux ou pire – ils exhibent leur maîtrise de l’horreur, leurs prouesses dans leur cruauté.
Il n’existe plus d’âme délicate, sensible qu’il faut prévenir du danger de visionner des images aussi pénibles. Non, c’est leur gloire qui l’emporte sur l’inconfort. C’est une nouvelle étape dans la force, l’intimidation, la suggestion. Merci à Hollywood et à ses films de violence, qui ne cessent d’augmenter de volume. Merci à ces journaleux qui ont vendu leur âme au diable.
Il s’agit sans nul doute d’une nouvelle stratégie, à laquelle l’Europe, l’Occident, indolents, tolérants et soumis, vont devoir se confronter. En ce cas, Israël n’est qu’un hors-d’œuvre.
Quant aux journaleux apathiques et aventuriers, ils pourront se féliciter d’avoir fait de la démocratie et de la libre expression, une arme plus dangereuse que le nucléaire, plus mortelle que toutes les épidémies. Mais aussi, elle ne les épargnera jamais.
On peut facilement comprendre les raisons qui ont poussé Macron à vouloir d’un État Palestinien, trouille ou désespoir, peu importe, c’est de sa peau dont il est question. Il craint les conséquences de ses actes envers ses concitoyens et ses juifs et n’ignore pas qu’il sera le prochain client des Arabes qu’il a hébergés et qui, grâce à la démocratie, viendront sans tarder lui arracher son siège de Président.
Le clientélisme fonctionne à merveille de nos jours. Macron entraîne dans son sillage, l’Angleterre, l’Allemagne, et tant d’autres poltrons – ces animaux malades de démocratie qui n’ont pas su freiner à temps pour empêcher la dérive.
Mais aussi, qui peut ignorer les saintes paroles de la Bible qui mentionnent la Justice divine et le châtiment collectif. Après tout, ne sommes-nous pas tous les instruments du Créateur ?
© Thérèse Zrihen-Dvir


La démocratie n’est qu’un leurre pour couillonner les peuples et les républiques européenne ne sont là que pour gérer et asservir des millions de quidams.
Très juste ! La vérité aura le dernier mot ! A diffuser cet article. Vive TSRAEL.
Il faudrait écrire un livre pour argumenter à vos côtés, Amie Thérèse.
Voyons uniquement la démocratie.
C’est un cadre théorique: le pouvoir au Peuple. Pas moins!
Dans les faits, la représentation par des élus au suffrage universel est le cadre « fonctionnel » de ce grand principe. Avec les dérives de plus en plus graves comme en France.
Après un sarkozy qui avait violé le résultat d’un référendum majoritaire, ce sont hollande puis son obligé macron, qui ont imposé la dictature de pouvoir personnel, exercé par des « présidents » élus avec à peine plus d’1/5ème de voix au 1er tour.
Les hommes politiques sont vénaux, donc opportunistes. À la recherche du pouvoir, des fastes et de l’argent qui va avec, ils violent chaque jour cette » démocratie » qui les a fait élire.
Le monde du 21ème siècle est majoritairement peuplé de crétins politiquement incultes qui au mieux, laissent faire, et pour la minorité, des « nantis » souvent instruits faute d’être cultivés, ils ont un intérêt économique personnel à encourager ces dérives totalitaires, supranationales et apatrides qui ont un nom: Mondialisme!
Face à ce coup de force permanent, le peuple est démobilisé, ce qui laisse toute latitude aux « frères muzz » de préparer la guerre civile qui monte.
Nous en sommes là en France. La démocratie est moribonde, et le petit peuple, anesthésié de télé, de foute et d’aides sociales, regarde ailleurs. Sans un Netanyaou-De Gaulle pour faire face, par la Guerre, à cette guerilla urbaine permanente, notre avenir est mal engagé !
Amicalement. BP