Le bureau de l’ancien Premier ministre Netanyahou a rejeté vendredi les accusations de la presse selon lesquelles le dirigeant saoudien Ben Salman s’est entretenu avec l’ancien Premier ministre Netanyahou pour obtenir la permission d’utiliser le logiciel espion Pegasus de la société israélienne NSO, et qu’en échange du consentement de Netanyahou, Israël a reçu l’autorisation de survoler l’Arabie saoudite. Si un tel accord a été conclus, il allait dans les intérêts de l’Etat d’Israël.
Le bureau de Netanyahou a publié le communiqué suivant :
« L’affirmation selon laquelle le Premier ministre Netanyahou a parlé à des dirigeants étrangers et leur a offert ces systèmes en échange d’une réalisation politique ou d’une autre réalisation – est un mensonge complet.
Toutes les ventes de ce système ou de produits similaires de sociétés israéliennes à des pays étrangers sont effectuées avec l’approbation et la supervision du ministère de la Défense, comme l’exige la loi israélienne. »
L’explication ne prouve rien : si Netanyahou avait voulu remettre ce logiciel espion, il avait la position pour demander au ministère de la Défense de s’exécuter.
© Equipe de rédaction Israel247.org.
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Source : https://www.0404.co.il