Dans le monde de la propagande anti-israélienne et dans les cycles apparemment interminables de violence contre les terroristes à Gaza, la multitude de haineux et d’ignorants gratuits utilise souvent les mots « disproportionné » et « proportionnalité » comme moyen de fustiger l’État juif. La réponse d’Israël est disproportionnée, affirment-ils à plusieurs reprises. Pour donner davantage de crédit à leurs affirmations, les détracteurs ajoutent souvent que la réponse disproportionnée d’Israël constitue une violation du droit international et un crime de guerre.
Tout dommage causé gratuitement est manifestement illégal en vertu du droit de la guerre de longue date, mais les dommages pertinents ne doivent jamais nécessairement être d’une ampleur déterminable équivalente.
Si une telle équivalence était une attente faisant autorité, les États-Unis, après leurs attaques atomiques d’août 1945 sur Hiroshima et Nagasaki, représenteraient le contrevenant le plus flagrant aux normes de « proportionnalité » de l’histoire de l’humanité.
Les actions d’Israël à Gaza sont justifiées au regard du droit international, et Israël mérite d’être félicité pour sa légitime défense contre le terrorisme. L’article 51 de la Charte des Nations Unies réserve à chaque nation le droit de se défendre contre les attaques armées. La seule limite que le droit international impose à une démocratie est que ses actions doivent satisfaire au principe de proportionnalité.
Le Hamas étant une organisation terroriste, le monde ne lui demande pas de respecter ce principe
L’affirmation selon laquelle Israël aurait violé le principe de proportionnalité – en tuant plus de terroristes du Hamas que le nombre de civils israéliens tués par les roquettes du Hamas – est absurde.
- Premièrement, il n’existe aucune équivalence juridique entre le meurtre délibéré de civils innocents et le meurtre délibéré de combattants du Hamas. En vertu du droit de la guerre, un nombre illimité de combattants peuvent être tués pour empêcher la mort d’un seul civil innocent.
- Deuxièmement, la proportionnalité ne se mesure pas par le nombre de civils réellement tués, mais plutôt par le risque posé. Ceci est illustré par ce qui s’est produit avec les massacres du 7 octobre par le Hamas.
Jusqu’à ce que le monde reconnaisse que le Hamas commet trois crimes de guerre – cibler des civils israéliens, utiliser des civils palestiniens comme boucliers humains et chercher à détruire un État membre des Nations Unies – et qu’Israël agit en état de légitime défense et par nécessité militaire, le conflit va continuer.
Douglas Murray : « La proportionnalité dans les conflits est une plaisanterie »
vendredi 13 octobre 2023
Douglas Murray a furieusement dénoncé « la proportionnalité dans les conflits est une plaisanterie » et a qualifié le concept de guerre de « profonde perversion en Grande-Bretagne ».
S’adressant à Julia Hartley-Brewer de TalkTV, M. Murray a abordé le conflit palestino-israélien et a soutenu que le Royaume-Uni envisageait souvent des questions comme celle-ci avec un point de vue centré sur le Royaume-Uni.
M. Murray a insisté :
« Il y a une profonde perversion en Grande-Bretagne chaque fois qu’Israël est impliqué dans un conflit, et c’est le mot que vous venez d’utiliser proportion, proportionnalité proportionnée, seule la Grande-Bretagne est vraiment obsédée par cela.
Mais si nous devions décider que nous devrions avoir ce fétichisme de la proportionnalité, alors cela signifierait qu’en représailles à ce que le Hamas a fait en Israël samedi, Israël devrait essayer d’organiser un festival de musique à Gaza et violer précisément le nombre de femmes qui Le Hamas a violé samedi, tuant précisément le nombre de jeunes que le Hamas a tué samedi.
Ils devraient trouver une ville exactement de la même taille qu’une ville comme Sderot et s’assurer de faire du porte-à-porte et de tuer exactement le nombre exact de bébés que le Hamas a tués à Sderot samedi, et d’abattre exactement le même nombre de retraités. Comme cela a été filmé samedi, la proportionnalité dans les conflits est une plaisanterie.
C’est une conception britannique très étrange selon laquelle seuls les Israéliens dans un conflit, lorsqu’ils sont attaqués, sont censés avoir une réponse précisément proportionnée. »
Murray a poursuivi :
« Soit dit en passant, il faut toujours dire que la différence entre la méthode de guerre occidentale et la méthode de guerre des terroristes du Hamas est que leur objectif est de tuer des civils. L’objectif du Hamas est de tuer des innocents.
L’objectif et le conflit des États-Unis, du Royaume-Uni, d’Israël et d’autres démocraties civilisées sont de tuer le moins d’innocents possible. On ne saurait trop répéter qu’Israël essaie d’utiliser Tsahal pour protéger ses citoyens.
Mais je n’ai aucun doute qu’après les atrocités de la semaine dernière, l’appétit du public israélien, de l’armée et des politiciens pour continuer ce travail de précision va bien sûr changer. »
@Abraham Chicheportiche pour Israël247.org
L ONU qui demande la proportionnalité doit commencer par compter les votes des 53 pays de l’islam comme une seule voix contre le seul pays juif de la terre
Au contraire !
Demandons aux dirigeants israéliens de faire des représailles strictement proportionnelles !
Les déchets nazislamistes tuent des juifs parce qu’ils sont juifs. Les Juifs sont seize millions dans le monde.
Les musulmans sont un milliard six cent millions, soit cent fois plus.
Des représailles vraiment proportionnelles devrait conduire à la destruction de cent déchets, pour chaque juif assassiné.
Vive les représailles vraiment proportionnelles et que les antijuifs ferment leurs sales gueules !