« Même lorsque nous étions enfants dans mon quartier non religieux de Tel Aviv, nous avons célébré la coutume joyeuse et unificatrice des danses avec amour et respect mutuel, comme l’ont fait des milliers et des milliers de personnes comme nous dans tout le pays. Ce sont des événements réels, honnêtes et intimes de l’amour d’Israël, qui sont devenus la propriété de toutes les couches de la population.
J’ai toujours pensé qu’il s’agissait d’un élément profond et impérieux de notre identité personnelle et nationale.
Cette année, pendant les fêtes de Tishrei, nous avons vécu avec une grande douleur un certain nombre d’événements qui ont empêché la prière ; des événements qui ont brûlé le cœur et qui étaient inimaginables et inacceptables.
En préparation des danses et des rondes que nous observerons ce soir et demain dans tout le pays, je m’adresse personnellement à vous, citoyens d’Israël, à chacun d’entre vous, et je vous appelle à vous comporter avec considération, inclusion, respect et amour d’Israël pendant les rondes et en général, et à nous permettre à tous, ensemble, de ressentir le sentiment de la fête et de la joie. Pas de provocations, pas de troubles, pas de bagarres.
Décidons – assez d’élever la voix, assez de lever la main ! Dans la joie de la Torah, nous devons mettre nos différences de côté et revenir à la joie pure et bénie du début de la nouvelle année et, avec elle, de la ronde de lecture des parshas hebdomadaires. »
En arriver là est tragique. Ne pas désigner les fauteurs de trouble, les extrémistes de gauche, c’est ajouter aux malheurs du monde.
© Equipe de rédaction Israel247.org.
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