Nous aimons tous respirer un air pur, nous baigner dans des rivières, des lacs et des mers propres, et marcher dans le sable sans mégots de cigarettes et restes de frites.
Mais en Israël, c’est pire encore : Israël est le seul Etat des juifs, ils auraient grand intérêt à se le garder en bon état : il ira à leurs grands enfants.
Le ministère de l’Ecologie a publié ce lundi, pour la 11e fois, l’indice de l’impact des entreprises industrielles sur l’environnement. Ce rapport fournit au public des informations comparatives sur les dommages causés à l’environnement par une entreprise industrielle. Ce que nous ne savons pas, c’est si ces entreprises pourraient polluer moins, si elles y sont incitées, si elles essayent, et si oui, ce qu’elles font et si cela produit des résultats.
Les experts du ministère ont étudié l’impact environnemental de 43 entreprises publiques et de 123 grandes usines en 2021.
- L’usine d’extraction de phosphates et d’engrais Keel Rotem (ILC) se classe première en termes de nocivité avec un score de 516. Son impact négatif sur l’environnement a augmenté de 3 % par rapport à 2020.
- Le complexe pétrochimique de Bazan (batey zikuk) arrive en deuxième position avec un score de 502.
Suivent la raffinerie Paz à Ashdod (488), Carmel Olifens, qui produit des matières premières pour les plastiques (410), Elcon, une entreprise de traitement des déchets dans la zone industrielle de Ramat Hovav (374), Leviathan Transportation (305), la station d’épuration de Gush -Dana à Rishon LeZion (282), Gadiv Petrochemistry Company – qui fait partie du groupe Bazan (270), Rabin Lights Power Plant à Hadera (246).
Lorsque les Arabes de Gaza décident de brûler des milliers de pneus à la frontière dans le but d’empoisonner les Israéliens ; lorsqu’ils lancent des ballons et cerfs-volants incendiaires et détruisent la faune et la flore, aucun écologiste nulle part dans le monde ne dénonce leurs agissements.
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