Un membre fondateur du groupe terroriste de la Brigade des martyrs d’Al-Aqsa, condamné pour le meurtre de sept Israéliens et de cinq collaborateurs palestiniens, est mort d’un cancer en détention israélienne mardi matin, ont déclaré des responsables arabes.
En août dernier, un cancer du poumon avait été diagnostiqué chez Nasser Abu Hmeid, 51 ans, et son état s’est détérioré depuis lors, les cellules cancéreuses se propageant dans tout son corps, y compris dans son cerveau, selon la Commission palestinienne des affaires des prisonniers et ex-prisonniers.
La Commission, ainsi que d’autres groupes, ont accusé le service pénitentiaire israélien de négligence et d’avoir délibérément tué Abu Hmeid, affirmant que son cancer aurait dû être découvert plus tôt et mieux traité. Pas de surprise, tout est bon pour accuser les juifs.
L’administration pénitentiaire a rejeté cette allégation, affirmant que le prisonnier « recevait des soins réguliers et attentifs de la part du personnel médical de l’IPS et de professionnels externes ».
Ces derniers mois, des groupes arabes ont également demandé la libération d’Abu Hmeid en raison de son état de santé et ont menacé de commettre des attentats s’il mourait en détention israélienne. Des menaces similaires ont été proférées à l’encontre d’autres prisonniers de sécurité infirmes dans le passé, mais d’une part, elles se concrétisent rarement, de l’autre, les Arabes qui veulent commettre des attentats ne manquent jamais de raisons de le faire.
Son état de santé s’étant aggravé, Abu Hmeid a été emmené lundi au centre médical Shamir, où il a reçu des médicaments pour contrôler sa douleur.
Sa mère était en train d’obtenir la permission de lui rendre visite à l’hôpital lorsqu’il est mort, selon le média officiel palestinien Wafa. Sa famille avait déjà été autorisée à lui rendre visite à l’hôpital en janvier dernier, après qu’il eut subi une opération pour retirer une tumeur au poumon.
En 2002, Abu Hmeid, le bras droit du terroriste Marwan Barghouti, a été reconnu coupable du meurtre de sept Israéliens – Eliyahu Cohen, Binyamin et Talia Kahane, Gad Rejwan, Yosef Habi, Eli Dahan et Salim Barakat – lors de plusieurs attentats terroristes perpétrés ou dirigés de loin pendant la deuxième Intifada. Au cours du procès, les autorités israéliennes l’ont décrit comme une « machine à tuer ».
Il a également été reconnu coupable de 12 chefs d’accusation de tentative de meurtre et d’un certain nombre d’autres accusations liées à la sécurité et purge plusieurs peines de prison à vie.
Il avait également été reconnu coupable du meurtre de cinq Palestiniens qui collaboraient avec Israël en 1990, mais a été libéré quelques années plus tard dans le cadre des accords d’Oslo.
© Equipe de rédaction Israel247.org.
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Source : ToI
Le châtiment qui attend ce tueur en série là où il est maintenant n’a rien à voir avec le b… d’allah auquel il croyait avoir droit. Trop tard, il a fait son choix dans ce monde et il en subit maintenant les conséquences dans l’autre.
Un titre correct aurait été.. meurt… pendant sa détention. Cela aurait evité de penser que sa détention est la cause de la mort.
Très juste! Mais il semblerait que bien des sites israéliens ne maîtrisent pas bien le Français et ses subtilités dans les tournures de phrases.
Tous les meurtriers/assassins, finissent cancéreux. Ce sont des cancers ambulants depuis l’enfance!
J’ajoute que je ne suis pas contre un débarquement en enfer de ce genre de types!