L’ambassadeur des États-Unis auprès de l’ONU affirme que le Hamas sera éliminé d’une manière ou d’une autre, ajoutant que le cycle de violence entre Gaza et Israël doit prendre fin.
L’ambassadeur des États-Unis à l’ONU a rassuré Israël que l’administration Trump ne permettrait pas au Hamas de continuer d’opérer dans la bande de Gaza après la deuxième phase du plan de paix en vingt points, jurant que le groupe terroriste serait retiré soit par le désarmement soit par la force.
Mercredi, l’ambassadeur Mike Waltz a rencontré le président Isaac Herzog à la résidence du président à Jérusalem, au cours de laquelle les deux ont discuté des efforts visant à récupérer le corps du dernier otage détenu à Gaza, Ran Gvili, et de la deuxième phase du plan de paix pour Gaza.
Herzog a salué l’administration Trump pour avoir contribué au rapatriement des 20 otages vivants de Gaza, tout en avertissant que, sans une voie claire, le Hamas et d’autres groupes terroristes pourraient profiter du cessez-le-feu pour se regrouper.
« Nous espérons que le processus ne prendra pas trop de temps, car au Moyen-Orient, si l’on attend trop, le vide se crée, et les éléments voyous ne se reposent pas une seconde », a déclaré Herzog.
Waltz a souligné que le président Donald Trump s’engage à retirer le Hamas du pouvoir dans la bande de Gaza — par la force si nécessaire — et qu’en aucun cas le groupe terroriste ne serait autorisé à réaffirmer son contrôle sur Gaza après la reconstruction de la bande.
« Ce qui est clair, et je veux être clair, c’est que le Hamas partira », a déclaré Waltz à Herzog. « Le président Trump l’a dit clairement : cela arrivera à l’amiable ou de force, mais il n’y aura plus du Hamas.
Et ce que nous ne pouvons pas faire, ce que nous sommes déterminés à éviter, c’est ce que j’appelle la définition de la folie : que d’une manière ou d’une autre le Hamas soit autorisé à survivre, à se reconstruire, et que la communauté internationale verse des milliards pour la reconstruction, alors le Hamas attaquera à nouveau, et Israël n’aura d’autre choix que de répondre, et nous voilà de nouveau dans ce cycle de folie.
Le président, son équipe, sont déterminés à briser cela, et l’une des nombreuses raisons de ma présence ici est de voir que cela soit mis en œuvre. »


Le Hamas est un groupement de malades mentaux, si tu ne pense pas comme eux, tu es voué à être tué. Si tu es chrétien ou juif leur dieu ordonne de t’éliminer physiquement, pareil pour les musulmans modérés qui eux ont un cerveau et qui sont tolérants envers les autres religions.
Qui peut affirmer avoir la vérité ce qui est important c’est l’amour et la tolérance du prochain.
Le hamas est un ramasis de fanatiques qui veut dominer la terre et l’intégrisme dans cette religion c’est l’amour de la mort
A ce stade là, je ne vois pas ce que l’on peut faire d’autre à part les neutraliser car ils sont incapables de raisonner en dehors du coran qui est loin de proner la paix et l’amour.
Lire le roman de J.R. DOS SANTOS aux éditions POCKET, c’est édifiant, la Charia, c’est l’horreur absolue!
Le hamas est entrain de se reconstruire, il recrute, dirige Gaza ville fait la loi, il refuse de se désarmer et refuse aussi une force internationale à Gaza qui serait à ses yeux une force d’occupation, il veut que ce soit des palestiniens qui gèrent Gaza. Soit dit en passant, il serait temps de faire des élections , car il est impossible de revoir Abbas , le négationniste, président de rien du tout car illégitime depuis 2006.
On ne peut parler réellement de cessez le feu pour le moment car chaque jour le hamas viole les accords en attaquant les soldats.
Le tort a été , je pense, lorsque Israël s’est retiré de Gaza ville pour être confiné derrière la ligne jaune et que le hamas est sorti des tunnels, où ils étaient planqués ,de leur avoir laissé la bride sur le cou, d’avoir toléré qu’ils règlent leurs comptes avec des milices, ils en ont profité pour abattre des personnes en pleine rue (nous avons vu la vidéo) depuis ils ont repris du poil de la bête et il sera très difficile de les désarmer et les faire dégager de là ; c’est dommage car il faudra trouver le moyen de les désarmer et de les faire partir de Gaza, pour le moment il semble qu’il n’y ait guère de candidats.