Le lundi 30 octobre, plus de trois semaines après le massacre des civils israéliens dans une incursion du Hamas d’une sauvagerie et d’une barbarie inégalée, Monsieur Fabrizio Carboni, directeur du CICR – Comité International de la Croix Rouge pour le Proche et le Moyen Orient – a accepté de répondre aux questions d’un journaliste israélien.
Il fallait l’entendre répéter combien il avait été choqué par le massacre du 7 octobre, et à quel point le sort des otages lui tenait à cœur. Selon lui, la Croix Rouge ne ménageait pas ses efforts pour obtenir, sinon leur libération, tout au moins l’autorisation d’aller les voir et de s’assurer qu’ils étaient bien traités. Hélas, expliquait-il, une telle autorisation dépend du bon vouloir du Hamas, et devant le refus de cette organisation, la Croix Rouge ne pouvait rien faire ; pire, elle ne voulait pas risquer de provoquer la colère de cette organisation dont la coopération lui est indispensable en cette période. Ce qui est tout de même curieux, car c’est le CICR qui finance le Croissant rouge palestinien, branche locale de l’organisation.
Et ce Croissant rouge semble travailler en parfaite harmonie avec le Hamas, car c’est apparemment sans difficulté que ses ambulances sont autorisées à transporter les blessés dans l’hôpital de campagne installé par l’Egypte de l’autre côté du poste frontière de Rafah. C’est lui aussi qui choisit les malades.
Il faut espérer que parmi les « blessés » prenant place dans ces ambulances ne se cachent pas des dirigeants du Hamas.
Des listes nominatives sont bien transmises à Israël, mais personne ne vérifie l’identité des évacués. Par ailleurs, le Croissant rouge n’a pas jugé bon de se plaindre que le Hamas s’empare de l’essence et du gaz indispensable au fonctionnement des hôpitaux. Il est vrai que les terroristes ont depuis longtemps établi des postes de commandement sous la plupart des hôpitaux de Gaza, qui leur assurent une protection contre des attaques éventuelles.
Trois jours plus tôt, ladite organisation s’était mobilisée pour une autre cause, sans doute plus urgente : les conditions de détention des terroristes en Israël. La direction de la Croix Rouge a envoyé à Katy Perry, chef de l’administration pénitentiaire israélienne, une lettre de semonce :
« Le comité international de la Croix Rouge rappelle à Israël son obligation de lui garantir un accès total à tous les départements où sont incarcérés des prisonniers sécuritaires, en vertu de la Convention de Genève. L’accès de la Croix Rouge aux prisonniers n’est pas seulement une obligation légale, il est aussi utile pour calmer les tensions au sein des prisons et en dehors ».
Les prisonniers sécuritaires, faut-il le rappeler, ce sont les terroristes ayant du sang sur les mains. Leur sort serait-il plus digne d’intérêt que celui d’un bébé de neuf mois et de son grand frère de quatre ans, qui eux n’ont pas droit à tant de sollicitude ?
Contactée le 2 novembre par le ministre israélien des Affaires étrangères Eli Cohen, Miriana Spulirik présidente du CICR n’a pu que confirmer l’impuissance de l’organisation.
© Michèle Mazel pour Israël 24 7.org
Nous connaissons tous les valeurs de la croix rouge, plus proches de celles des terroristes que des victimes. Elle a été l’ instrument d’ Hitler, elle est celle des terroristes islamistes.
La Croix Rouge a refusé l’affiliation de l’organisation israélienne Magen David adom – l’Etoile de David rouge, mais a accepté le Croissant rouge.
Nous sommes loin de la croix rouge d’Henri Dunant qui avait participé au premier congrès juif mondial de Théodore Hertzel.
la Croix Rouge a toujours été pro-palestinienne et anti-israélienne. De surcroit, elle entretenait des relations très particulières avec la croix gammée : pendant la Shoah, la Croix Rouge appréciait la situation des camps de concentration et des camps d’extermination à l’aune des orchestres de Juifs en pyjama rayé qui jouaient devant Auschwitz et Theresienstadt …